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« sending out an sos » pv félina

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MessageSujet: « sending out an sos » pv félina « sending out an sos » pv félina EmptyMar 6 Mar - 2:33

kyarah j. e. middleton & félina s. p. weed

« sending out an sos » pv félina Tumblr_lqne2kUA5J1qfqtm7o1_500

    Les cours avaient repris le rythme normal, ou presque. Quand je passais dans les couloirs, les visages étaient assez différents, et un calme résidait dans les couloirs, là où avant l’ambiance battait son plein. Les traces de sang avaient été nettoyées, mais il y avait des lieux où même si les traces n’existaient plus, nos mémoires garderaient en tête les événements de cette soirée. Depuis cette fusillade, je ne pouvais plus mettre les pieds dans la cafétéria. J’en avais des frissons rien que de passer devant, alors déjeuner à l’endroit même où des gens ont été blessés voire tués, je ne pouvais pas tout simplement. Et puis, même si je ne voulais pas me souvenir de cette journée, et qu’il y avait des moments où je m’en sortais plutôt bien, l’état de Dylan me rappelait un peu plus chaque jour le tragique événement.
    J’étais rentrée de Paris depuis peu, et à vrai dire, j’y serais bien restée un long moment si je n’avais pas cet accord avec l’université qui se pendait au dessus de ma tête. Je ne pouvais plus arrêter mes études, même pour faire une pause, sous peine de ne plus pouvoir poursuivre ici, et être bonne pour aller dans une école moins glorieuse. A vrai dire, je ne pouvais pas me permettre ça aujourd’hui, car mes études étaient ceux à quoi je me rattachais depuis toujours, sans compter la danse. Mais bizarrement, je ne pratiquais plus beaucoup la danse ses derniers temps. Je savais qu’en faisant ça je perdais de mon niveau, mais prendre le risque de finir à l’hôpital à cause de mon asthme, c’était prendre le risque de faire souffrir Dylan un peu plus. Alors non, j’avais arrêté la danse. Kyarah raisonnable, qui aurait pu croire ça ? Cependant, il me restait une autre chose à faire pour me dire que si je venais à mourir demain, je n’aurais rien à regretter. Evidemment mort, on aurait rien à regretter, mais au moins, aucun secret ne serait laisser une fois que je serais partie.
    Ce matin là, j’avais un cours sur la radiologie de quatre heures. Un cours que je ne connaissais absolument pas et qui me plaisait grandement. Je suivais le cours minutieusement, prenant toutes les notes possible. En tant que futur médecin, j’étais amené à savoir lire une radio sans faire de fausse note. On avait tout de même des vies humaines entre nos mains, et le droit à l’erreur ne nous était pas permis. On nous avait juste accordé une pause de quelques minutes, et bien que ce cours me passionne, l’idée de ce regret possible ne quitter pas mon esprit. C’était devenue trop pour moi, il fallait que je parle, que je lui dise qui elle était réellement, où du moins ce qu’elle représentait maintenant. Je profitais de ce moment pour appeler mon père, surement au travail, mais qu’importe, je lui laisserais un message sur son répondeur dans le pire des cas. Je sortais de l’amphithéâtre pour passer mon appel. Une sonnerie, deux sonneries… « Allo Papa ? C’est Kyky. Comment tu vas ? (…) ça va, ou enfin presque. Ecoute papa, je t’appelle parce que je voulais juste te prévenir, je vais essayer de voir Félina ce midi, et je vais lui parler. (…) Ne cris pas s’il te plait ! Elle doit savoir elle aussi ! (…) Tu ne peux pas m’en empêcher de toute façon, tu le sais ça ? (…) Je suis désolée papa, le cours reprend, je te rappelle plus tard. Et s’il te plait, ne m’en veut pas. Je t’aime. (…) ». C’était sur un dernier « Je t’aime aussi ma fille » que je raccrochais le téléphone, mon père n’était pas heureux de savoir que j’allais parler moi-même à Félina, ce n’était pas mon rôle, mais est-ce que sa mère l’aurait fait ? J’en avais de gros doute là-dessus. Je savais qu’en annonçant à Félina que j’étais sa demi-sœur j’allais déclencher une bombe dans la maison mais qu’importe, je ne supportais plus ce secret. J’envoyais dans la foulée un message à ma double pour savoir si elle était disponible pour un resto’ ce midi, en précisant que je payais bien évidemment pour treize heures, le temps de rejoindre un de nos restaurants préférés de San Francisco. Réponse positive au message, j’avais donc officiellement rendez vous pour signer mon arrêt de mort. Quel courage les parents, maintenant, les enfants se devaient de faire leur sal boulot. Félina et moi avions plutôt de bon rapport, mais ça n’empêchait pas que l’on était bien différente, et à tout point de vue. On avait une complicité, mais c’était juste à des périodes. En faite, on ne s’occupait pas plus que ça de la vie de l’une et de l’autre. Par contre, le fait de savoir que s’était ma demi-sœur, j’avais comme la sensation d’avoir un devoir maintenant envers elle. Je m’étais toujours cru fille unique, et au final, j’avais une famille caché quelque part pendant près de vingt ans.
    Je terminais le cours comme je l’avais commencé, aussi attentivement, bien que je cherchais déjà ma façon de tourner les choses. Mais comme on dit souvent « les choses ne se passent jamais comme on les avait prévu ». Je me torturais l’esprit pour rien, je le savais pertinemment. Sortie du cours, je prenais la direction de ma voiture pour rejoindre le centre de San Francisco, en espérant pas avoir trop de mal à me garer, surtout en cette heure. Et mon intuition n’était pas mauvaise, tout était quasiment plein, je sentais que mes escarpins à talon noirs allaient prendre cher ce coup-ci. J’étais garée à environ cinq-dix minutes. Ça peut paraitre pas grand-chose, mais quand on avait au pied sept centimètres de talon, cinq minutes à pied faisait toute la différence. Souffrir pour être belle, je m’en souviendrais. J’arrivais devant le restaurant la première, et un sourire au visage, qui exprimait la joie d’être arrivé jusque là sans m’être tordu une cheville. Un coup d’œil dans le restaurant, et je voyais encore des places de libre, je pouvais donc attendre celle à qui j’allais annoncer une nouvelle, qui pourrait changer beaucoup de chose.


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MessageSujet: Re: « sending out an sos » pv félina « sending out an sos » pv félina EmptyVen 9 Mar - 2:12

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Kyarah & Felina

Depuis quelques semaines Berkeley étais devenus un vrai bordel, les événements s’enchainais sans vraiment qu’on en comprennent le sens. Par chance, je devais être l’une des seules pas présentes dans l’université le jour de la tragique fusillade, pour une fois que ma poudre du bonheur – comme je l’appel – m’avais probablement sauvé la vie, ça me donnais moins envie de la stopper. Ce jours-là, il me semble que j’avais rendue visite à je ne sais plus qui et qu’on avait passé une bonne partie de la journée à consommer des choses illicite. Cette merde rythmais ma vie et ça ne me dérangeais pas. D’après ce que j’avais compris le bâtiment principale avais été fermé quelques jours, donc les cours supprimer pour permettre à tout le monde de se remettre de tout ça, des cellules psychologique avais été aussi mis en place pour ceux qui le voulais, on se serait crus dans une mauvaise réplique de film. Le drame terminé, j’étais passé voir quelques personne qui m’avais appelé ce jours-là pour savoir où je me trouvais ou simplement parce qu’ils avaient besoins de moi, j’avais donc été assez touché par les récits de certaines personnes. J’essayais de ne pas trop pensé à ce qui aurais pu se passer si des personnes que j’aimais avais été touché …

La sonnerie qui signalais la fin du cours me sortit de mes pensée, tout le monde avais repris les cours normalement, certains manquais à l’appel, d’autre étaient là sans vraiment l’être. Tous les profs sans exception parlais des victimes et des blesser, certains demandais des minutes de silence, d’autre n’osais pas regarder les étudiants dans les yeux. Comment voulez-vous que les personnes oublient si tout le monde n’agissait pas normalement ? Je rangeais mes affaires et me dirigeais vers mon cours suivant, je pris aussi le temps de lire mes messages sur mon téléphone, Kyarah me proposais un déjeuner, ça faisais un moment que je l’avais pas vu et j’avais dû l’avoir au téléphone cinq minute pour savoir si elle allait bien, nos conversations étais toujours très brèves, j’acceptais le rendez-vous et remis mon téléphone dans mon sac. Mes deux heures de cours suivante m’avais paru interminable, si bien que j’avais bien dû m’endormir une bonne demi-heure avant la fin du cours. Mon professeur d’histoire du cinéma me retint à la fin du cours, histoire de me faire la moral « Miss Weed, je trouve cela inadmissible de vous trouver endormis pendant mon cours, c’est un manque de respect envers moi et vos camarade il faut … » Non, mais écoutez le franchement parce que monsieur est professeur d’une grande université et je ne sais quoi d’autre il se permet de me faire la moral ? « Monsieur, sans vouloir vous offenser j’adore cette matière, mais si vos cours n’étais pas ennuyeux à ce point je serais la plus assidue de toutes vos élèves ! Sur ce, bonne journée » Je n’avais même pas pris la peine d’attendre sa réaction, j’étais déjà partit en direction de la sortit. Pour pouvoir attraper un taxi.

Pour une fois, je n’étais pas si en retard que ça, à peine dix minutes. Le taxi me déposas pile devant le restaurant, là ou m’attendais déjà Kyarah, je payais la course au chauffeur et sortait du véhicule, j’affichais un grand sourire à ma double et lui fis la bise une fois près d’elle. « Tu vas bien ? Désolé du retard, mais l’un de mes charmant professeur m’a pris la tête pour un truc complétement bidon et je ne te parle même pas des embouteillages, les chauffeurs de taxi ce n’est plus ce que c’était ! ». J’étais un vrai moulin à parole quand j’avais faim, on rentrait dans la salle de restaurant je parcourais vite fais la salle des yeux, on s’installait à une table et un serveur nous amenais presque aussitôt le menu. Quelle efficacité !
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MessageSujet: Re: « sending out an sos » pv félina « sending out an sos » pv félina EmptySam 10 Mar - 18:46

kyarah j. e. middleton & félina s. p. weed

« sending out an sos » pv félina Tumblr_lqne2kUA5J1qfqtm7o1_500

    Je tournais et je faisais les cent pas dans cette rue en attendant celle qui se trouvait être ma demi-sœur. Je me souviendrais encore de quand mon père m’avait appris cette nouvelle, ça l’avait totalement dévasté et ça pouvait se comprendre. Au final si on faisait le récapitulatif de ma vie : j’avais une mère qui ne voulait pas de moi, et un père dont je ne connaissais même pas l’existence. Si ça ce n’était pas une vie de merde, fallait qu’on m’explique ce que cela pouvait être. Et en même temps l’homme qui m’avait élevé comme sa propre fille, je le respectais tellement. Il avait toujours été là pour moi, et dieu sait qu’un homme célibataire avec un enfant, cela devait être loin d’être évident. Mais il ne s’était jamais découragé, même les questions que posent normalement une fille à sa mère, il savait y répondre – dans la mesure du possible évidemment.

    Flashback on :
    « Kyarah, je peux te parler s’il te plait ? » en tant normal, j’entendais cette phrase seulement quand je faisais une bêtise, et encore, il ne me demandait pas l’accord pour me parler mais se contenter uniquement de me hurler dessus directement. Les avantages d’être une gosse sage était que lorsque l’on faisait une connerie, ça surprenait toujours autour de nous. « Bien sur papa, deux secondes, je ferme mon ordinateur. » L’éternel « attend », qui ne le disait pas à ses parents. J’étais en pleine conversation avec des amis, mais ça pouvait bien attendre un petit peu également. Je descendais les escaliers pour le rejoindre dans le salon. Mon père était maintenant bien installé avec ma belle-mère et sa fille, mais toutes les deux étaient absente apparemment car la maison était drôlement calme. Cela faisait environ un an que l’on était arrivé ici, et je ne me souvenais plus de ce que c’était que le calme. « Assis toi là ma puce, j’ai quelque chose d’important à te dire. » Ok, là ça devait flippant ça c’était sur. Je m’asseyais juste à côté de mon père, là où il tapotait pour dire de me placer. « Qu’est-ce qui se passe ? » Question légitime en mon sens, c’était à ce moment précis qu’avait choisi mon père pour prendre une grande inspiration et de commencer son discours. « Ma Kyky, il ne faut pas m’en vouloir, j’ai toujours voulu te protéger, et tu sais combien je t’aime, tu es ma petite fille adorée. Et il ne faut pas en vouloir à ta double non plus. Tu sais que ta mère a fait beaucoup de voyage à travers le monde. Et elle a rencontré son père, qui est… aussi le tien. » Fin de la blague, j’aurai voulu rire, mais je ne pouvais pas en voyant les traits de visage de mon père. Dans ma tête le rapprochement se faisait vite « Donc mon double et … ma demi-sœur ? Elle est au courant ? Papa ne pleure pas, tu restes mon père, tout ça ne changera rien ! » Car oui tout ça ne changeait absolument pas les faits actuels, et je voulais le rassurer. « Non Kyky, elle n’est pas au courant, et sa mère ne souhaite pas lui dire pour le moment. ». Et voilà comment on pouvait faire basculer les choses en l’espace de quelques instants. Je serrais tellement fort mon père dans ses bras que je l’en aurais étouffé si lui-même ne le faisait pas en retour.
    Flashback off

    Je me retrouvais avec ça sur les épaules, et le gardais pour moi c’était beaucoup trop. Et Félina devait être au courant. On avait tous vu le genre de film où les secrets de famille explosaient même les plus belles unions, alors non, je me refusais à vivre ce genre de vie à mon tour. Ma vie n’était pas un film, et les happy ends je n’y croyais pas vraiment. Félina arrivait enfin sur le lieu de rendez-vous, comme toujours dans ses allures un peu provocantes, mais toujours classe quand même. Elle avait vraiment un don pour ça cette fille. Enfin soit. Elle s’approchait de moi pour me faire la bise que je lui rendis bien. « Ça va et toi ma belle ? Je ne pouvais m’empêcher de rigoler quand elle me racontait ses exploits de la matinée. Miss Weed avait toujours une sacré vie à raconter, et souvent avec des anecdotes bien drôles. « Ne t’en fait pas, je suis là que depuis peu aussi. Fallait lui faire du charme à ce prof, il t’aurait peut être laissé tranquille. » Avec le jolie clin d’œil qui accompagnait le tout, je me doutais que cette technique elle l’avait déjà essayé mais bon. La Gamma passait devant pour rentrer dans le restaurant, je suivais ses pas, un charmant jeune serveur nous guidait jusqu’à une table de libre. J’étais encore perdue dans mes pensées, comment je pouvais lui dire ça. Prendre un chemin détourné ? Dire les choses cash ? Aucune idée de quelle façon elle prendrait le mieux les choses. Une fois à notre table, je m’asseyais en face d’elle et en deux trois mouvements on avait la carte des menus. Et bien, je ne me souvenais plus d’une rapidité de service comme celle là. « Alors quoi de beau ces derniers temps ? » Je ne savais pas si elle était retournée à la maison en ce moment, je n’avais pas vraiment eu le temps d’y aller entre Paris, et la reprise des cours. Je devais d’ailleurs aller voir mon père, mais après cette journée, l’ambiance ne serait pas à la fête, et j’avais un doute sur le fait que je pourrais être bien accueillie maintenant. Un coup d’œil à la carte, et les pâtes me faisaient drôlement envie. Classique s’était sur, mais tellement bon. Le serveur venait chercher nos commandes avec un très beau sourire. Tombeur va. « Il est bien mignon celui là tient. » Kyarah ou l’art et la manière de se faire diversion toute seule. Le mieux pour moi était peut être d’attendre un peu voir l’état d’esprit de Félina avant de dire quoi que ce soit, et puis qui sait, si j’attendais d’avoir fini le repas, elle aurait peut être le ventre trop lourd pour se lever et me mettre à terre avec un bon coup de poing que je n’aurais pas volé. Bienvenue en enfer Kyarah.


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MessageSujet: Re: « sending out an sos » pv félina « sending out an sos » pv félina EmptySam 31 Mar - 16:04

« sending out an sos » pv félina 33c0l52


Kyarah & Felina

Je souriais et avant de lui tourner le dos pour rentrer dans la salle de restaurant je répliquais le plus naturellement du monde « A ton avis ma Chérie pourquoi tu penses qui me prend la tête pour un oui ou pour un non ? Parce que j’ai déjà recalé ces avances à lui » et je concluais avec un petit clin d’œil. Oui, ceux qui ne me connaissais pas pouvais penser que je mentais comme je respirais, croyez moi j’aurais préféré mentir sur ça ! Un soir dans un bar j’avais croisée mon charmant et vieux pervers professeur d’histoire de cinéma complétement imbibée d’alcool. Il c’était approché vers moi et avais essayé de me ploter avec ces vielle mains poisseuse en me faisant des propositions plus salaces les unes que les autres, je l’avais juste gentiment repoussés avec une répliques dont j’avais le secret et j’avais changé de bar pour avoir la paix. Depuis ce jours il me regardait de travers et ne faisais que de e reprendre pour un oui ou pour un non. Bref, on nous installa à une table avec une carte. « Oh pas grand-chose la routine tu sais, je suis déjà blinder d’examen vu que j’ai loupé tout le premier trimestre je les rattrape assez facilement et sinon la routine la fêtes les mecs tout ça tout ça quoi ! ». Le serveur revenais déjà pour prendre nos commandes, à la remarque de Kyarah je ne pus m’empêcher de détaillés le serveur de haut en bas sans vraiment prendre la peine d’être discret. La discrétion n’était définitivement pas mon truc. J’affichais un grand sourire au serveur, en rajoutant en plus mon petit regard pervers « Je prendrais le plat du jour svp et je prendrais bien le serveur aussi » rajoutais-je avec un clin d’œil, je lui rendis la carte et attendais que Kyarah commande à son tours, une fois cela fais le serveur partit plus gêner que jamais et je repris la parole « Alors toi qu’est-ce que tu as à me raconter de beau ? » lui demandais-je en reportant toute mon attentions sur elle.


HJ; Désolé c'est relativement court, mais je reprend le RP & j'ai beaucoup de mal je m'améliorais la prochaines fois :out:
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Jake Fitzgerald
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MessageSujet: Re: « sending out an sos » pv félina « sending out an sos » pv félina EmptyMer 16 Mai - 13:25

:out:
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MessageSujet: Re: « sending out an sos » pv félina « sending out an sos » pv félina Empty

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