La nuit était tombé depuis quelques heures déjà, je me baladais seule dans les bas quartiers de San Francisco, chose que ma mère m’avait interdite de faire lors de mon déménagement dans cette ville, mais comme je n’avais pas l’habitude d’écouter les conseils de ma mère j’étais là en pleine nuit seule dans le pire quartier de toute la ville. Dans la pénombre de la ruelle, je repensa à cette fois ou j,habitais encore New York, je m'étais retrouver dans une ruelle similaire avec une bonne amie à moi. Quand tout à coup un étranger sorti de nul part en courant vers nous. Sans même se dire un seul mot, nous étions partie à la course toutes les deux complètement affolées. Je devais aller à une fête le lendemain et qui dit fête dit rester éveiller jusqu’aux petites heures du matin, complètement épuisée depuis quelques jours je savais que j’allais avoir besoin d’un peu d’aide pour fêter comme j’en avais envie. Il était plutôt rare que je consommais de la drogue autre que la marijuana, mais là j'en avais vraiment besoin. Il était hors de questions que je ne me présenta pas à cette fête qu'on disait être la fête de l'année. Alors voilà pourquoi je me retrouvais dans cette ruelle sombre, il était passé vingt-trois heures et celui à qui je devait acheter la drogue n’était toujours pas là. On m’avait donné son numéro la journée même sur le campus, j’avais même aucune idée de ce qu’il allait avoir l’air, sans doute un autre déchet de la société sans grande importance. Le moindre bruit me fessait sursauter, j’enfoncer ma main au fond de mon sac et en saisie les clefs, un arme de défense plutôt médiocre, mais je n’avais rien d’autre. C’était un peu ridicule qu’une jeune fille comme moi veulent se défendre seule, je n’allais pas causer beaucoup de blessure à mon asseyant avec mes petites bras pas musclé pour un sous. Je vis soudainement une silhouette apparaitre ou bout de la ruelle, je croyais que ma vie allait s’arrêter là, au moins j’aurais eu une mort qui aurait fait la couverture des magasines, la pauvre actrice tuer par un délinquants fou. Je n’allais pas partir sans qu’on parle de moi quand même. Fait gaffe je suis armée. Sait-on jamais peut-être allait-il fuir? Mais non rien n’y fit il continuait d’avencer vers mois, j’ai pensé à m’enfuir en courant, mais pour cela il aurait fallu que je passe près de mon futur tueur, aussi bien se jeter directement dans la gueule du loup. Je restai donc ou j’étais sans bouger, les clefs toujours en main alors que le jeune homme au capuchon s'approchait de plus en plus de moi. Je sentais ma respiration accéléré et mon coeur fit de même.

Ma réaction avait été complètement exagéré, je me retrouvais au fond de cette ruelle sombre parce que j'avais moi même fait appel à se fameux dealer anonyme dont j’ignorais tout de lui. J'avais pleine conscience que d'ici les prochaines minutes j'allais être rejoint dans cette obscurité par un inconnu au allures probablement louche du à son métier. On ne pouvait s'attendre à voir un homme en habit cravate lorsqu'on attendait un revendeur de drogue, il était évident que le jeune homme qui allait apparaître devant moi allait être vêtu de noir, parce que oh dieu qu'il a eu une vie tourmenté et tragique. Je me fessais sans doute des idées trop rapidement, mais tous les dealer que j'avais jusqu'à présent étaient tous pareil, ils pensaient tous n'être que des bons à rien et pour eux être utile comme ils l'étaient pour plusieurs personnes leurs donnaient en quelque sorte confiance en eux, j'imagine. À ce qu'il parait avoir des préjugées préconçu ce n'est pas bien, mais je m'en foutais totalement, pour moi le jeune homme qui devait me rejoindre n'était qu'un loser de la pire espèce. Je prévoyais faire ce que j'avais à faire le plus rapidement possible et retourner chez moi à la vitesse supérieur, il était hors de question que je traîne ici dans les bas quartiers avec tout ces rats trop longtemps. Je vis finalement une jeune homme, blond, apparaître au loin, il s'approcha rapidement de moi et je lui fis mentions que j'étais armée, toute fois je ne lui fis pas part que ce dit arme n'était que mon trousseau de clefs, rien de bien de dangereux. Come on, on va ranger nos armes ou je ne sais quoi, j'ai une tête à vous faire du mal mademoiselle ? Il retira le capuchon qui lui couvrait la moitié du visage jusque là, devant moi se devrait dorénavant un beau blond, il n'avait rien du tout à ce que j'avais imaginer. Au contraire, il était sans doute l'un des plus beau mecs que j'avais eu la chance de poser les yeux depuis mon arrivée à Berkeley. Je rigola légèrement et laissai tomber mes clefs au fond de mon sac. C'est surement ce lieu lugubre qui m’effraie un peu trop. Lui dis-je avec un léger rire. Puis il me demanda se que je voulais, cela allait sans doute pas être une surprise pour lui, après tout j'étais l'une de ses gosses de riches de New York, le cliché parfait quoi. De la poudre s'il te plait. Et au fait il est mieux de ne pas avoir de verre pilé ou d'autre merde du genre. Une poupée de luxe comme moi se contentais que du meilleur hors de question qu'on me refile la même merde qu'aux accro qui vivent sous les ponts. J'enfonçai ma main au fond de mon sac afin d'en sortir mon porte-monnaie, fallait payer après tout. En posant ce geste je dis à la personne dont j,ignorais toujours le nom: Tant fait pas, je prend que mon porte-monnaie. Je l'avais quand même menacer d'un arme moins d'une minute plus tôt, j'étais bitch, mais pas au point de lui faire peur.

Me retrouver au fond de cette ruelle dans le but d'acheter de la drogue était loin d'être une bonne idée, j'avais pris un énorme risque, pas seulement avec ma vie, mais avec ma carrière. On avait parler de mes déboires dans plusieurs magasines à potins et je savais très bien que le prochain scandale que je provoquerais pouvait mettre un terme à tout ce que j'avais bâtie depuis les dix sept dernières années.Mon attitude face à ce métier pouvait ne pas être la meilleure depuis les derniers mois, mais perdre tout ça me causerais une peine terrible. Après tout j'aimais bien mon boulot, c'était plutôt facile, je n'avais qu'à apprendre quelques lignes de texte et me mettre dans la peau d'une autre personne et le tout se soldait par un énorme dépôt dans mon compte en banque. Je ne pensais pas être capable de me trouver un autre métier tout aussi payant et aussi facile. Mais malgré tout je m'étais tout de même déplacer pour ce petit rendez-vous avec un pur inconnue. Il me confirma donc qu'il ne vendait aucune merde. J'espère bien si non tu vas entendre parler de moi mon cher. Le jeune homme me proposa donc de goûter à sa marchandise, il mit un peu de la substance blanche son doigt qu'il me présenta par la suite. Évidement je ne pouvais me contenter de simplement lécher le bout de son doigt comme on lèche nos doigts après avoir manger des croustilles. Je ne répond même pas à sa proposition et me contenta de sortir ma langue de ma bouche et du bout de celle-ci je lécha le doigt du jeune blond en le regardant directement dans les yeux. J'avais envie de voir sa réaction, après tout ce n'était sans doute pas tous les jours qu'il avait la chance de se faire lécher le doigt de façon sensuelle par une inconnue aussi jolie que moi. J'y connaissais pas grand chose en la matière, je n'avais aucune idée si la drogue était bonne ou pas. Je me souvenais qu'un jour on m'avait dit qu'elle devait engourdir la langue, mais je n'avais jamais ressentis cette sensation. Il était tout fois hors de question que je laisse mon manque d’expérience paraître. Ça me semble bien. Me contentais-je de lui répondre. Je lui remis donc l'argent que j'avais en main avant d'enfoncer au fond de mon sac le petit sachet qu'il me remit. J'allais pour quitter cette endroit lugubre quand je sentis une pression sur mon bras, sa y est j'allais mourir. Mais non, à la vue de son regard il n'avait absolument pas envie de meurtre, au contraire il devait avoir une toute autre idée derrière la tête. Et puis à moins d'être aveugle, toutes filles devaient trouver cette inconnue très beau puisque c'était le cas. Une autre victime sur mon tableau de chase? Je n'y voyait aucun inconvénient. J'avais toujours aimer la chaire humaine, ce n'était pas du tout un manque de confiance en moi, au contraire j'en avais à en revendre, séduire le plus de mec possible avait toujours été un passe temps des plus passionnant pour moi et ce n'est pas une ruelle sombre qui allait m'en empêcher.

La soirée allait prendre un tournant au quel je ne m'étais absolument pas attendue. À la base je voulais qu'acheter un peu de drogue et quitter les lieux le plus rapidement possible. J'avais beau avoir mes airs de jeune femme courage il m'arrivait d'avoir peur et ce soir en était la preuve. Alors que l'inconnu c'était approcher de moi j'avais eu l'envie de m'enfuir en courant, mais je ne l'avais pas fait, soit ma raison avait été plus forte ou encore la peur m'avait clouer au sol, j'en avais aucune idée, mais j'étais plutôt contente d'être finalement rester au fond de cette triste ruelle sombre. On échangea donc drogue contre argent, après tout nous étions là pour cette raison. Alors que je m'apprêtais à retourner dans les bons quartiers ou j'habitais je sentais une main faire une légère pression sur mon bras. Je me tournai donc vers le jeune homme qui me regardait avec ce regard qui en disait long sur ces intentions. Aucun mot n'avait été prononcer, il ne fait pas se le cacher les mots étaient loin d'être nécessaire en ce moment. Alors que j'ignorais toujours le prénom du jeune blond devant moi, il s’approcha et déposa ses lèvres sur les miennes. J'avais cette réputation de fille facile, vous savez cette fille qui couche avec tout ce qui bouge. En fait ce n'était pas qu'une réputation, j'étais bel et bien comme ça, selon le thérapeute que j'avais vu il y a quelques années cela est causé par un manque de confiance, mais je n'y crois rien, j'ai entièrement confiance en moi et mes capacités si non pourquoi je prendrais la chance d'aller vers autant de jeunes hommes si je doutais de mes capacités à les convaincre que je suis le meilleurs coup de a planète. En fait si j'avais commencer à agir de la sorte c'était à cause de mon demi-frère, Drew, il m'avait en quelque sorte sauvé la vie il y a quelques années de ça et depuis j'avais développer une certaine admiration pour lui. Je voulais tout faire comme lui et comme il avait une fille différente dans son lit tous les soirs je m'étais donc mise à faire comme lui. Jusque là il ne m'étais jamais arrivé de coucher avec quelqu'un sans savoir au moins son prénom. Habituellement j'avais passé plus de dix minutes en sa compagnie avant de passé au niveau supérieur, mais ce soir au fond de cette petite ruelle ensevelie par les déchets, je m'en foutais complètement. J'avais la chance d'avoir ce blond plus beau que tout devant moi alors je n'allais quand même pas laisser ma chance passé aussi facilement, qui sait peut-être n'allais-je jamais revoir ce jeune homme alors aussi bien en profiter pendant que j'en avais la chance. Je lui retournai donc son baiser qui rapidement se transforma en baiser similaire à ceux échanger dans les films pour adultes. Il avait mit ses mains sur mes fesses et d'un geste brusque je l'avais plaquer contre le mur de brique d'un immeuble à logements. Le baiser que nous échangions continua quelques secondes puis je lui retirai son t-shirt d'un seul coup dévoilant son torse masculin. Je pouvais voir les passants au bout de la ruelle qui marchaient sans se rendre compte de se qui se passait à quelques mètres d'eux. Le fait de pouvoir être surprise à n'importe quel moment m’excitait encore plus. J'avais toujours aimer aller contre mon éducation de bonnes familles, aller à l'encontre de ce que ma mère à toujours souhaiter pour moi me donnait l'impression d'avoir ma propre vie, d'être le maître de mon destin en quelque sorte. Et au fond de cette ruelle en compagnie cette inconnue avec qui j'allais partager les plaisirs de la chaire humaine, me donnait l'impression d'être vivante plus que jamais.

Depuis plusieurs années je m'étais donner comme défi de faire chier ma mère du plus que je pouvais. Je devais passer pour la pire fille indigne vu tout ce que ma mère avait fait pour moi et ma carrière sans oublier tout l'argent qu'elle m'avait toujours donner à profusion sans poser de question. Mais c'était plus fort que moi, je devais faire l'inverse absolue de ce qu'elle attendait de moi, j'avais se besoin enfui au fond de moi, vous savez quand vous voulez prouver à vos parents que vous êtes votre propre personne ou encore que vous pouvez vous débrouiller sans eux. J'avais ce besoin. Ma mère avait toujours été présente dans ma vie, peut-être même un peu trop, c'était sans doute pour cette raison que j'avais envie de lui montrer qui j'étais réellement. Mais malgré tout ce que je pouvais faire, elle ne semblait pas comprendre que j'avais besoin d'air au contraire on aurait dit que plus je fessait de conneries plus elle cherchait à s'impliquer dans ma vie. Même jusqu'à croire que j'étais folle, je me rappel une fois elle m'avait fait voir un psychologue, ce qui n'avait donner aucun résultats. Tout avait commencer alors que je n'avais à peine quatorze ans, nous étions en Italie lors d'un voyage familiale et j'avais fait la rencontre d'un garçon formidable à mes yeux, évidement ma mère ne l'avait pas approuver, au contraire. J'étais même aller jusqu'à fuir la suite de l'hôtel ou nous habitions pour aller vivre avec lui pour une période de deux semaines, jusqu'à ce que ma folle de mère envoi la police à ma recherche. J'imagine qu'elle avait fait, ce jeune homme était loin d'être fréquentable, mais malgré tout je lui en voulais toujours. J'avais cette rage contre elle et je ne savais même pas d'ou cela venait, je savais simplement qu'elle était la personne qui m'énervait le plus au monde. De nouveau je m'étais retrouver dans une situation qu'elle n'aurait pas approuver, ce qui me procura encore plus de plaisir. Tous les peurs que j'avais eu à l'arrivé de l'inconnu était dorénavant complètement disparu. Après avoir échanger drogue contre argent nos langues s’entremêlèrent de façon langoureuse. Rapidement ce baiser se transforma, je le plaquai contre le mur et lui retirer son chandail puis je caressai son corps d'athlète, il devait faire partie d'une équipe sportive quel qu'on que avec le corps qu'il avait, c'était impossible qu'il puisse avoir un tel corps en ne fessant aucun sport. L'inconnu avait exactement tout ce qui m'allumais chez un homme, il était beau, bad boy et avait même un corps de rêve, que demander de plus? Absolument rien. Alors qu'il me mordillait l'oreille, je ne me gêna pas et détacha sa ceinture avant d’enfouir ma main dans son pantalon, il était déjà exciter à point, normale il était quand même sur le point de se faire la plus jolie fille de tout le campus. J'empoigner donc son membre et le caressai vivement pendant quelques minutes. Puis je me retournai, levai ma la courte jupe que je portais, le message était clair. Alors t'attend quoi? Le jeune blond avait immédiatement comprit et il entra en moi pour ne former qu'un. Je me retrouvais donc contre le mur avec que les mains pour essayer de maintenir un certain équilibre. Après plusieurs minutes à exécuter des mouvements de vas et vient je sentais que l'inconnu en moi était sur le point de tout décharger. J'appréciais énormément les sensations qu'il me fessait vivre dans cette ruelle à la vue de tous. Je l'entendis finalement jouir et au même moment je pu percevoir une voix étrangère. Je me retournai et y vis un agent de police, putain dans quel merde je m'étais encore une fois mise. Je redescendit aussi tôt ma jupe et sans même qu'on ai le temps de dire quoi que se soit le policier nous embarqua dans sa voiture, direction le poste de police de la ville. Une fois assise sur la banquette arrière de la dite voiture je me penchai et murmurai à l'oreille de celui qui m'étais toujours inconnu: C'est dommage qu'ils soit arrivé aussi vite lui, j'allais te proposer d'essayer la sodomie. Evidemment je plaisantais, quoi que si j'avais envie de d'exécuter cette pratique un jour se serait sans doute avec un inconnu que je ne reverrais plus jamais par la suite.