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How is it we can never meet without you pointing something at me ? | PV |

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MessageSujet: How is it we can never meet without you pointing something at me ? | PV | How is it we can never meet without you pointing something at me ?  | PV | EmptyDim 10 Juil - 5:41

YOU SEEM SOMEWHAT FAMILIAR. HAVE I THREATENED YOU BEFORE ? Ϟ Me? I'm dishonest, and a dishonest man you can always trust to be dishonest. Honestly. It's the honest ones you want to watch out for, because you can never predict when they're going to do something incredibly... stupid. Oui je t’ai menti. Non tu n’es pas mon genre. Bien sur que cette robe te boudine. Je suis jamais allé a Bruxelles. Ça se prononce irrévérencieux. Figure toi que non, j’ai jamais rencontré Pizzaro mais j’aime ses pizzas. Et tout cela n’a pas la moindre importance à coté du fait que mon navire c’est envolé une fois de plus ! Compris ? DO US A FAVOR... I KNOW IT'S DIFFICULT FOR YOU... BUT PLEASE, STAY HERE, AND TYR NOT TO DO ANYTHING... STUPID.
That boy is a Monster. He ate my heart.

« Get ouuuuuuuuuut !! » criais-je en écartant de mon chemin les quelques personnes qui s'y trouvaient. L'heure était grave, n'ayant pas le temps de trainer je courrai le plus vite possible, cela allait me faire faire un peu d'exercice étant donné que j'étais privé d'entrainement de football à cause de ma très chère présidente Constance ainsi que cet imbécile de première qu'était Ethan. Autant pour la première le pardon était possible, elle avait dû réagir selon les circonstances et puis habituellement lorsque nous étions ensemble nous passion de bons moments, mais alors pour ce qui était de l'autre iota, lui pardonner était impossible, si je me voyais privé de certains droits comme celui de faire la fête en compagnie de mes confrères iotas c'était uniquement à cause de lui, tout ça n'aurait jamais eu lieu si à la base il ne m'avait pas volé ma copine. Habituellement calme, il avait suffi d'une seule fois, une seule minute où je perdais le contrôle de moi-même et laissais mes instincts les plus primitifs prendre le dessus sur moi et je me voyais averti en plus d'être contraint à me priver d'un certain nombre de choses. Contrairement au misérable iota à la tête de fouine du nom de Ethan je n'étais pas privé de la maison de Iota, une chance que je n'y habitais plus, car à l'heure actuelle je pouvais encore m'y rendre, car si j'avais toujours été résident il y avait beaucoup à parier que j'aurais également été privé de mes quartiers et alors j'aurais marqué ce grand évènement vers lequel je me rendais le plus vite possible. Oubliant les politesses je me contentais de simplement foncer dans le tas, zigzaguant entre les passants, poussant ceux qui me barraient la route, un véritable parcours du combattant que je traversais pour me rendre à la maison iota qui se trouvait sur le campus, et pourquoi le faisais je à pieds ? Car je n'avais plus mes clés de voiture, merci qui ? Merci Rowan bien évidemment, foutu blonde, toujours se méfier des blondes, ce sont les êtres plus viles, fourbes et vicieux de la terre, un conseil : ne jamais faire confiance à une blonde. Si j'avais moi-même écouté ce conseil je ne me serais jamais retrouvé à faire des kilomètres à pieds alors qu'une voiture, MA VOITURE, se trouvait juste devant la porte de garage de la villa. La nouvelle trouvaille de la jeune femme pour me pourrir la vie, foutre mes clés de voiture à la poubelle le jour où les éboueurs de passage, comment allais-je bien pouvoir expliquer ça, tout pour me foutre la vie en l'air. Voilà qu'après une bonne demie heure de course j'arrivais à destination, en voiture ça m'aurait pris 10 minutes, essoufflé, mais en un seul morceau, je pénétrais dans l'enceinte du bâtiment grand sourire aux lèvres, l'heure était venu, après cela je pouvais bien mourir que je continuerais de dire que ça en valait le coup. Dans la maison je tournais la tête dans tous les sens, c'était limite si ma tête ne faisait pas un tour sur elle-même, nulle part, il n'y avait rien mis à part les iotas, avais-je fais tout ce chemin pour rien du tout. Avais-je couru des kilomètres pour finalement arriver trop tard. Attrapant la première personne qui passait devant moi je la saisissais à chacune de ses extrémités avant de planter mon regard dans le sien et de prendre un air désespéré « Where are they ? » mon interlocuteur quant à lui, semblait totalement perdu, n'ayant aucune idée de quoi je pouvais bien lui parler j'abandonnais l'idée de poursuivre la conversation et me contentais tout simplement de le lancer un peu plus loin la mine affreusement déçu. Ne pouvant me résoudre à avoir fait tout ce chemin pour rien je continuais ma quête, retournant la maison dans son intégralité, de haut en bas, rien, je décidais donc de réitérer ma technique de tout à l'heure et attrapait un autre des gars et cette fois ci j'étais nettement moins bavard « the girls... » je n'avais pas grand espoir et pourtant il semblait que malgré le manque de précision l'homme en face de moi semblait me comprendre, affichant un grand sourire plein d'espoir j'ajoutais « Where ? » et là, c'est LE DRAME...Gone, elles étaient parties et les gars avec. Ces foutus traitres n'avaient même pas eu l'idée de m'attendre et voilà qu'à présent je me retrouvais chez les iotas, à quoi bon vu que je ne pouvais plus rien faire, même me rendre sur le terrain de football m'était interdit, tout ce qui se rapprochait de près ou de loin à un ballon de foot m'était interdit, j'suis sûr que même les vestiaires étaient à présent un endroit qui n'acceptait plus de m'ouvrir ses portes. Déçu, effondré même , je me laissais tomber pour atterrir sur un canapé, le regard vide tourné vers la porte j'hésitais à repartir, trop fatigué pour, je semblais destiné à trainer ici et là jusqu'au retour des gars, avec qui je comptais avoir une question, dire que j'étais énervé n'était pas exact, plus contrarié qu'autre chose j'avais l'intention de leur dire leurs quatre vérités, une fois qu'ils seraient rentrés. Pour le moment j'étais seul avec rien de prévu et aucune occupation, cette journée s'annonçait mortel. Mortel au point de dormir ? Presque et à vrai dire je n'étais plus très loin de rejoindre les bras de morphé lorsque la personne que j'attendais le moins faisait son entrée dans la maison des iotas. Une autre blonde, souvenez vous, ne jamais faire confiance à cette espèce d'être humain, à la moindre occasion elles vous poignarderont dans le dos, la prudence était donc devenue le mot d'ordre au moment même où cette jeune femme avait fait son entrée, Tinsley Barckley. Revenant brusquement à la réalité je me frottais les yeux tout en me levant du canapé un grand sourire aux lèvres je me dirigeais vers elle d'un pas décidé et déterminé, c'était décidé, elle allait être ma distraction pour la journée. Une idée qui, j'étais certain, était loin de l'enchanté et à ce moment-là elle n'avait pas la moindre une idée de ce qui allait lui tomber dessus, une déferlante de conneries, let's have some fun.
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MessageSujet: Re: How is it we can never meet without you pointing something at me ? | PV | How is it we can never meet without you pointing something at me ?  | PV | EmptyJeu 14 Juil - 22:08


« Well, if you told me you were drowning, I would not lend a hand. I've seen your face before my friend but I don't know if you know who I am. Well, I was there and I saw what you did. I saw it with my own two eyes, so you can wipe off the grin, I know where you've been. It's all been a pack of lies...Well I remember, I remember don't worry. How could I ever forget? It's the first time, the last time we ever met. But I know the reason why you keep your silence up, no you don't fool me » ღ.
Ϟ Blair ; Isn't there someone else you could torture? Ϟ Chuck ; Probably. But I choose you.

Quoi de plus malheureux que de se lever un samedi matin à sept moins le quart pour se rendre à un cours ? Absolument rien, au monde. Surtout lorsque pris d’un élan de sagesse, vous n’êtes pas sorti la veille comme tous les autres membres de votre confrérie pour être parfaitement en forme au cours que vous devez rattraper à cause d’une peau de vache qui est tombée malade en plein mois de juin. Et le pire qui pouvait arriver à un étudiant en cette période, c’était qu’un de ses professeurs soient absents, spécialement pour les étudiants en médecine comme l’était Tinsley. Ces pauvres étudiants avaient la particularité d’avoir un dernier examen début juillet alors que tous les autres, avaient déjà jetés leurs crayons et noyés leurs notes. Ainsi Tinsley, même si elle n’avait encore jamais eu de problème dans le moindre cours, se devait de se rendre à son cours aussi matinale soit-il. Elle avait réussit tous ses autres examens et ne voulait pas redoubler son année, pour une flemme aussi aigue soit-elle. Se rendant donc dans l’enceinte de l’université à reculons, alors que les étudiants décuvaient péniblement dans leur confrérie initiale. Elle se promit finalement pour se remonter le moral, qu’après son dernier examen, elle aussi se mettrait une cuite monumentale comme ce n’était pas arrivé depuis trop longtemps selon elle. L’enceinte de l’université était vide, seule la classe où elle devait se rendre était un minimum remplie par des étudiants somnolant. Qu’il devenait dur d’être matinal. Et c’est de mal en pire, qu’elle découvrit avec effroi que ses deux heures habituels de cours venaient de se transformer en une matinée entière plus deux heures l’après-midi, venant presque à lui faire regretter d’avoir choisi le cursus de la science. Pourquoi n’avait-elle pas choisi une matière tristement célèbre pour ne rien foutre ? Philosophie, psychologie, histoire etc… Elle n’avait que l’embarras du choix, mais bien-sûr que non il avait fallu qu’elle se la joue élève ambitieuse –et c’était d’ailleurs exactement ce qu’elle était- et qu’elle prenne le cursus scolaire connu pour être le pire. Avoir des journées allant jusqu’à neuf heures de cours, réviser le Week-end, pendant les vacances, avoir moins de vacances que les autres parce que vous avez plus d’examens mêmes. Et tout cela pour quoi ? Pour finir un jour médecin, à se trémousser dans un hôpital en blouse blanche avec des horreurs de misères, et une odeur de mort régnant sur votre lieu de travail, sans parler du moral à zéro qui vous poursuit dans votre maison lorsque vous n’avez pas réussit à sauver une vie et que le visage anéanti de la famille vous hante. Mais chirurgien c’était bien plus que cela, c’était aussi et surtout sauver des vies, redonner espoir lorsqu’un patient n’en a plus. Faire le métier qu’elle désirait faire, méritait bien qu’elle consacre un peu de ses longues vacances à son dernier cour de l’année. Après tout elle n’était pas la plus à plaindre, il y aurait certainement un paquet d’étudiants qui devraient se rendre au cours d’été pour espérer ne pas avoir à redoubler leur année.

Après ses affamements longs cours de la matinée, et pire encore ceux de l’après-midi, Tinsley termina sa dernière journée de cours à seize heures passés. Elle aurait bien crié « Victory » ou « Vacations » mais malheureusement pour elle, elle ne le serait pas avant lundi prochain, journée de son dernier examen. Elle comptait donc ce week-end se reposer et étudier encore un peu pour être fin prête pour le grand jour, se qui impliquait de ne pas sortir ce soir avec les Iotas, malgré qu’elle en mourrait d’envie. Les études avant tout. Elle perdit une nouvelle heure à papoter avec une amie autour d’un café dans la cafétéria de l’université qui par miracle n’était pas encore fermée, puis elle retourna finalement dans la maison Iota où elle espérait passer une soirée au calme où elle ne se coucherait pas plus tard qu’à minuit. Cela n’allait pas bien être compliquée à mesure qu’elle serait certainement seule ce soir étant donné qu’ils devaient tous être sortis. Elle qui détestait la solitude, elle était servie. Si le trop plein de calme la dérangeait, elle n’aurait plus qu’à squatter la maison de confrérie voisine. Les deltas n’est-ce pas ? Oh elle était certaine, qu’ils seraient ravis de l’accueillir parmi eux. Qui ne le serait pas ? Elle pénétra finalement dans sa maison initiale, et après avoir volé un paquet de chips elle entreprit de monter les escaliers qui filait tout droit jusqu’à sa chambre qu’elle partageait en colocation avec sa meilleure amie de toujours, Riley Jaymes Andriev. Une perle cette fille, d’ailleurs elle allait lui manquer ce soir, quand elle regarderait son film seule. Au moins, elle pourrait choisir le film qu’elle voulait. Pirates des caraïbes ? Spiderman ? Quel excellent programme, et sur ce elle chipa un deuxième paquet de chips parce qu’elle venait de se rendre compte qu’elle avait très fin, ajoutons à cela la bouteille de coca-cola et elle se dirigea à nouveau vers sa chambre où elle tomba sur ce grossier personnage qu’était Damian San Mercury affalé sur le sofa comme si sa journée avait été épuisante. Qu’avait-il bien pu faire ? Regarder un match de football américain en mangeant des chips et en buvant de la bière ? Affreusement dur. Elle leva les yeux au ciel, et poursuivit sa route en essayant de ne pas le réveiller de sa somnolence. Il était le pire emmerdeur du monde, et s’il se rendait compte qu’elle se trouvait elle aussi dans la maison, c’en était terminé de sa soirée tranquille. Elle ne put s’empêcher de sourire intérieurement en pensant qu’il était privé de toutes activités à cause de cette mascarade qu’il avait crée au bal en compagnie d’un autre Iota. Se battre pour la reine de promo au bal, ce que cela pouvait être cliché. En attendant, cela montrait que derrière cette apparence d’idiot fini, monsieur avait bel et bien une once de sentiment pour quelqu’un. Malheureusement ce n’était pas le cas pour elle. Dieu sait, qu’elle aurait voulu ne jamais le rencontrer à cette maudite soirée il y avait deux de cela.

Elle aurait pu monter dans sa chambre en silence, s’y enfermer et n’en sortir que le lendemain matin avec un Damian surpris et dégouté de ne pas s’être rendu compte de sa présence, mais c’était sans compter le grincement des escaliers. Ainsi n’avait-elle pas franchit trois marches que Damian venait de remarquer sa présence et il la suivait à présent à l’étage. Se demandant un instant si elle ne devait pas se mettre à courir pour essayer de le semer, elle repoussa finalement l’idée. Elle était l’une des plus sportives filles de cette confrérie, elle était excellente en course mais lui était capitaine de son équipe de football –du moins tant qu’il n’énervait pas encore Constance- elle connaissait ses performances sportives, elle savait qu’il était excellent en course, elle n’aurait pas fait trois pas en direction de sa chambre, que déjà il l’aurait rapidement attrapé. Ainsi elle se contenta de marcher comme si de rien n’était, comme si l’homme le plus énervant de la terre ne la suivait pas. Arrivée enfin à sa chambre, elle se retourna subitement vers lui énervée. « Why are you following me, jackass? » D’accord le traiter d’idiot, n’était peut-être pas le meilleur moyen pour le faire déguerpir, au contraire cette sangsue allait encore plus s’accrocher parce que c’était un chieur et/ou un masochiste né, mais c’était plus fort qu’elle. Lorsqu’il était dans les parages, elle était incapable de garder son sang-froid, c’était le genre de personne qu’elle laisserait crever la bouche ouverte même si elle avait la possibilité de l’aider. Mais elle était certaine que c’était réciproque. Il passait son temps à la charrier à chaque occasion qui s’offrait à lui, il devait la détester au moins autant qu’elle le faisait. Ou alors il aimait juste le fait qu’elle s’énerve pour un rien lorsqu’il évoquait cette fameuse nuit où elle avait couché avec lui, et qu’elle ne voulait pas que ce souvenir s’ébruite. Ce n’était pas tant le fait qu’elle est succombée à ses charmes –quoique- mais surtout le fait, qu’elle avait bu cette nuit là à en vomir dans le jardin du propriétaire de la fête et fumer des substances illicites. Se positionnant devant l’entrée de sa chambre afin qu’il ne puisse pas y pénétrer sans son autorisation – à moins qu’il ne la pousse, ce qu’il était capable de faire- Elle le regarda de haut en bas, avant de lâcher un long soupir. « Look, I’m not the one who forbids you to get out with the others Iota. » Commença-t-elle, avec un ton largement plus calme qu’auparavant. Peut-être que si elle était assez gentile avec lui ce soir, il lui ficherait la paix. « You know what? Next time, avoid the problems instead of hit them in the face. » Ajouta-t-elle sarcastiquement. Elle ne pouvait s’empêcher d’être moqueuse quand à la situation dans lequel se trouvait Damian. Damian San Mercury punit comme un enfant par la vilaine Constance parce qu’il avait frappé Ethan, la situation était bien trop comique pour qu’elle puisse rester de marbre face à cela. « Now go away, I don’t want to see your face anymore. » Et finalement elle se retourna, prête à fermer la porte de sa chambre et enfin pouvoir passer une soirée tranquille avec son paquet de chips et Tobey McGuire.
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MessageSujet: Re: How is it we can never meet without you pointing something at me ? | PV | How is it we can never meet without you pointing something at me ?  | PV | EmptyMer 27 Juil - 6:00

DAMIAN & TINSLEY.
« you can't take me. Got to fight another fight, I gotta run another night. Get it out, check it out. I'm on my way and I don't feel right, I gotta get me back, I can't be beat and that's a fact »
I hope it gives you hell, l'enfer, très certainement qu'elle me le souhaitait et c'était réciproque, en tout bien tout honneur bien sûr. Tinsley, cette fille c'était toute une histoire, une histoire que j'apprenais à découvrir au fil du temps et c'était avec plaisir que je poursuivais l'histoire, alimentant la haine qu'il y avait entre nous et qui s'apparentait à une relation, je prenais un malin plaisir à la faire sortir de ses gonds dès que je le pouvais. Enfin, parler de haine dans mon cas était très exagéré, je n'éprouvais aucune rancoeur envers la jeune femme, je faisais juste en sorte d'alimenter la haine qu'elle avait déjà contre moi, je l'énerve et ensuite elle décharge toute sa colère, c'est un bon procédé et c'est ainsi que toutes les relations devraient fonctionner, sur des bases solides et surtout on savait où on en été. Souvent, il y a beaucoup trop de confusion entre un homme et une femme, là c'était clair comme de l'eau de roche, elle me déteste et ça m'amuse, que demander de plus. Dieu bénisse cette soirée où la jeune femme s'était littéralement jeté sur moi et où elle avait prit quelques substances illicites ainsi que bu, en soit ce n'est pas très grave, mais allez savoir pourquoi, le fait que je sache cela la dérangeait et bien évidemment je n'allais pas manquer l'occasion de tourner tout ceci à mon avantage. Je n'étais pas d'une nature méchant, mais joueur, ça je l'étais, peut être même un peu trop et cette manie de constamment repousser ses limites allait tôt ou tard me mener à me perte, mais pour le moment ce n'était pas le cas alors autant profiter de ce que la vie m'offrait et ce jour-là elle était plutôt généreuse. En effet, elle avait mis sur mon chemin Tinsley, un signe du destin, l'univers était avec moi, cette rencontre devait avoir lieu et je perdais pas une seconde en me lançant le plus rapidement possible à la rencontre de la jeune femme qui semblait vouloir désespérément m'éviter, une raison de plus qui me poussait à l'aborder avec un grand sourire, le simple fait de savoir que ma présence dans la même pièce l'exaspérait faisait de moi un homme comblé. Il en faut peu pour être heureux, vraiment très peu pour être heureux, il faut se satisfaire du nécessaire...Ce jour là, la jeune femme était nécessaire à mon bonheur et je n'allais pas la lâcher de si tôt, après tout, la soirée ne faisait que commencer et qu'elle soit d'accord ou pas j'étais bien décidé à passer le reste de ma soirée avec elle, faute de mieux.
La rejoignant je décidais de ne pas prendre la parole, me contentant simplement de monter les marches en restant derrière la jeune femme, j'avais ce petit sourire narquois dans le coin des lèvres, tenant à voir combien de temps elle allait tenir avant de se retourner vers moi et de, au mieux me gueuler dessus et au pire m'en mettre une, l'issue de ce premier contact dépendait entièrement de l'humeur de Tinsley qui ne semblait pas être au beau fixe, en même temps lorsque je suis là elle semble toujours être de mauvaise humeur, ma présence y serait elle pour quelque chose ? Vous croyez ? Ho j'espère que non, comment ferais pour vivre sans ma Tinsley nationale, qui est ce qui me divertirait si elle n'était plus là, en effet ses petites crises de colère étaient pour le moins divertissante, si ce n'est même hilarante, oserais-je le dire ? Nooon, bien trop peur de m'en prendre une, mais le penser ? Ho que oui, jusqu'à preuve du contraire elle n'était pas dans ma tête, pas encore, 'fin je crois. Ho et puis zut, who cares, si l'univers avait décidé que je devais m'en prendre une et bien j'en prendrais une et ce serait sans broncher le moins du monde que j'accepterais ma sanction, certainement que je l'aurais mérité. Pour le moment la jeune femme semblait tenir bon, malgré le fait que j'étais juste derrière elle, elle continuait de monter comme si de rien n'était, j'allais devoir faire preuve d'imagination si j'espérais me faire remarquer et susciter chez elle un quelconque intérêt, aussi petit soit-il, je le prends. Je continuais donc monter les escaliers en tapant du pied, à chaque marche je tapais tellement fort que même au nebraska on m'entendait monter ces foutus escaliers, si ça, ça ne faisait pas réagir la jeune femme, c'était soit qu'elle n'avait pas d'oreilles, soit elle était vraiment de mauvaise humeur. And there it is, elle réagissait enfin, j'avais envie de m'écrier c'est pas trop tôt !! mais bizarrement j'avais l'impression que si je disais ça j'aurais l'air suspect, comme si j'avais volontairement tapé du pied en montant les marches et que j'avais fait exprès de la faire trébucher, enfin failli, grosse différence, elle n'était pas encore les fesses par terre, à mon plus grand regret. A la remarque de la jeune femme je prenais un air faussement étonné, « Mais, mais je ne te suis pas, on va juste dans la même direction. » ouais le mensonge n'avait jamais été mon fort et c'était un peu la seule chose qui à ce moment-là m'était venu à l'esprit, c'était mieux que rien. En même temps c'était vrai, je la suivais, mais j'allais pas lui dire que j'étais effectivement en train de la suivre parce que je m'ennuyais et que j'avais pour projet de faire de sa nuit un véritable enfer. Il me paraissait évident que si je lui disais la vérité elle n'allait pas être très encline à me laisser l'accès à sa chambre, non je le jure, aucune cochonnerie ne me venait à l'esprit lorsque je pensais imaginer passer ma soirée avec une fille dans une chambre, habituellement ça aurait été le cas, mais là on parlait de Tinsley, j'avais déjà testé et on ne pouvait pas vraiment dire que c'était le meilleur coup que j'avais connu, oserais-je dire qu'elle ne faisait pas honneur à sa réputation ? Peut être...ou peut être pas. Testé, mais loin d'être approuvé. De toute évidence la jeune femme ne semblait pas vouloir me laisser avoir accès à sa chambre, positionné juste devant l'entrée je n'avais aucun moyen de passer, à moins de la pousser, idée plus que tentante, mais que je refusais tout de même à appliquer, lever la main sur une femme, jamais !! Même si en l'occurrence il ne s'agissait que d'une petite petite pichenette amicale et qu'il s'agissait de la fille qui me détestait le plus au monde, enfin pour le moment, car après tout rien n'était définitif. En effet, j'avais espoir que si un jour elle prenait la peine de découvrir ma magnifique personnalité, elle cesserait enfin de me haïr pour au final m'aimer et succomber, de nouveau, à mes charmes, c'est ce qui leurs arrivent toutes. Arrogant ? Légèrement, du Tinsley tout cracher, sa présence suffisait à faire ressortir les plus côtés les plus sombres et détestables de ma personnalité. Ben quoi ? Il fallait bien excuse quant au fait que j'étais à ce moment-là quelqu'un de détestable, la iota était là, parfait, autant rejeter la faute sur elle, il était bien plus facile de jeter la pierre sur autrui plutôt que d'assumer, j'étais déjà puni par miss constance la tour dubois, pas besoin d'assumer d'avantage mon côté et d'accepter les conséquences de mes actes. A la réflexion de la jeune femme je prenais un air faussement réjouis avant de lui rétorquer avec un grand sourire « Si je suis ici c'est parce que je le veux bien. » ces derniers temps j'aimais bien me donner des faux airs de bad boy, de rebelle et la présence de Tinsley ne faisait qu'accentuer cette envie. Après tout ce que je disais n'étaitpas entièrement faux, juste à moitié, j'étais ici de mon propre chef, mais je n'avais pas vraiment le choix, privé d'entrainement et d'activité avec les iotas, je n'avais rien de mieux à faire que de trainer dans la maison de la confrérie, mon bon vieux « chez moi ». Un chez moi qui semblait plutôt mort ces derniers temps, y avait-il encore des iotas vivant, je veux dire des iotas hommes, des filles j'en voyais partout et à longueur de journée. En entendant la suite de la phrase qui venait de la jeune femme j'arborais cette fois ci un rire forcé, l'air toujours aussi faussement amusé je ne manquais pas de répondre à sa petite vanne digne du jardin d'enfant, « Ho, mais tu sais, si c'était à refaire, je referais exactement la même chose, ne serait que pour me retrouver à cet endroit précis, avec toi, je sais à quel point tu es ravie de me voir ici. » à défaut d'être quelqu'un de très drôle je restais néanmoins très redoutable lorsqu'il s'agissait de sarcasme. Alors que la iota prononçait ses dernières paroles j'écoutais d'une oreille plutôt baladeuse ce qu'elle avait à me dire, bien trop occupé à écouter ce qui se passait en bas je distinguais mon prénom, quelqu'un parlait de moi !! A peine la jeune femme avait fini sa phrase que je lui tournais le dos pour me pencher sur la rambarde histoire de mieux entendre ce qui se disait en bas. Faisant signe à la jeune femme derrière moi pour l'inciter à venir écouter ce qui se passait j'entendais un claquement de porte. C'était donc accompagné d'un sursaut que je me retournais pour constater qu'elle m'avait fermé la porte au nez, enfin pas vraiment au nez, plus au dos, ce n'était pas l'important, le mal était fait. De toute évidence elle ne voulait pas de moi ce qui bien évidemment avait tendance à me pousser à continuer mon petit harcèlement. Entrant discrètement dans la chambre j'apercevais la jeune femme sur son lit un DVD en main, quittant le mode ninja, dans lequel j'étais entré pour pouvoir pénétrer dans la pièce sans me faire remarquer, je sautais sur le lit de la jeune femme en prenant soin d'atterrir juste à côté d'elle. Sans aucune gêne je prenais mes aises, « Ha tiny tiny tiny...Ca sera quoi ce soir ? » ne lui laissant pas le temps de répondre je saisissais le DVD qu'elle avait entre les mains avant de l'examiner. « Spiderman ? Cool j'aime bien ce film. » Une soirée film ? Ma foi pourquoi pas.


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La présentation arrivera plus tard.
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Adriel Eynsford-Baxter
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MessageSujet: Re: How is it we can never meet without you pointing something at me ? | PV | How is it we can never meet without you pointing something at me ?  | PV | EmptySam 30 Juil - 15:42

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