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La jalousie est un bien vilain défaut l LIA.

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MessageSujet: La jalousie est un bien vilain défaut l LIA. La jalousie est un bien vilain défaut l LIA. EmptyDim 26 Juin - 15:28

LIA C. COOPER & FLAVIA DE SUZA
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    On dit que les amis de nos amis sont nos amis et par conséquent que les amis de nos ennemis sont nos aussi nos ennemis. C’est exactement ce qui se déroulait actuellement dans la vie de Flavia. Détestant sa sœur cadette Elena il était donc tout naturel qu’elle ne porte pas dans son cœur son amie Théta : Lia. Elle avait eu son tout premier échange avec la blondinette dans les couloirs de l’université. Flavia était en train d’engueuler sa sœur une énième fois quand Lia avait prit gentiment sa défense. Sans été déjà trop pour Flavia et depuis ce jour, elle m’méprisait au plus au point la Théta. Leur relation aurait tout simplement pu s’arrêter là mais un beau matin, alors qu’elle était au parc, assise sur un banc, en train de se remémorer le passé et son année plus que mouvementé passée à New-York un adorable petit garçon était venu lui apporté une fleur. Difficile de ne pas craquer devant cette petite bouille bien que par le passé Flavia n’était pas le genre de fille à s’attendrir devant un enfant. Seulement, depuis qu’elle était tombée enceinte et que cette histoire avait pris un dénouement tragique : son avortement Flavia avait énormément changée. Elle avait commencée par détestée les enfants et leur trouvait tous les défauts du monde afin de se prouver à elle-même qu’elle avait fait le bon choix. Seulement, ce jour-là, elle avait craqué devant cet adorable petit garçon. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle le suivit du regard et s’aperçut qu’il se dirigeait vers un autre banc sur lequel était assise une jeune femme blonde. C’est très rapidement que la jolie brune reconnue Lia. « Non, il ne va quand même pas lui donner une fleur à elle aussi ! » pensa-t-elle. Seulement, quand elle s’aperçut que le petit garçon ne repartait pas, la jeune femme comprit très vite que la Théta était en réalité sa mère. Elle les observa pendant un très long moment et pour la première fois, Flavia regretta son choix. Pour la première fois, elle envisagea enfin ce qu’aurait pu être sa vie avec cet enfant. Cet enfant dont elle avait tant de fois essayée de se convaincre qu’il aurait été malheureux avec une mère comme elle. Flavia faisait rarement preuve de jalousie, elle n’avait pas non plus un égo surdimensionné mais disons qu’elle avait une grande confiance en elle, seulement en regardant la Théta et son fils, elle réalisa pour la première fois ce que c’était de ressentir de la jalousie. Ce sentiment atroce qui vous bouffe entièrement. Les semaines passèrent après cette rencontre au par et Flavia fit tout son possible pour croiser la blonde au minimum. Cependant quand cela se produisait, elle lui lançait un regard noir, à vous couper le souffle. Entre temps, de nombreux événements se produisirent dans la vie de la demoiselle et les tensions entre sa sœur furent ravivées plus que jamais et elles repartirent dans une guerre sans merci ou tout était permis. La semaine dernière, Flavia s’était liée très rapidement d’amitié avec Aaron, un garçon fréquentant la même confrérie que Lia et elle espérait en apprendre un peu plus sur elle, une faille par exemple ? Seulement, la jeune femme en apprit bien plus que ce qu’elle espérait. Non seulement, Aaron était le père de l’enfant de Lia, mais il était aussi sorti avec sa rivale de sœur pendant les dernières vacances. Ni une, ni deux, c’est sans aucun remord que Flavia et Aaron décidèrent de jouer les amoureux transis, lui pour rendre jalouse Elena pour qui il avait craquée et Flavia dans le but d’atteindre les deux jeunes femmes. La vengeance ne résout rien mais c'est pourtant de cette manière que la tornade brune fonctionnait. Depuis le début de la semaine donc, le Théta et la Oméga jouait donc au parfait petit couple et s’affichait fièrement dans les couloirs de l’université. Au début personne ne croyait en cette histoire étant donné qu’une Flavia en couple ce n’était tout simplement pas une Flavia et que sa réputation de croqueuse d’homme n’était plus à faire. Seulement les jours passaient et les mauvaises langues commençaient à trouver de nouvelles proies sur qui parlaient. Ce jour-là, Flavia était adossée contre son casier et embrassait Aaron fougueusement. Quand la sonnerie retentit ils se murmurèrent quelques mots à l’oreille avant de se quitter pour qu’Aaron rejoigne sa salle de cours. En s’éloignant, Flavia aperçut Lia qui été en train de les observer au bout du couloir. Un léger sourire aux lèvres, la brune s’avouerait pleinement, il ne manquait plus qu’Elena et tout serait parfait.
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MessageSujet: Re: La jalousie est un bien vilain défaut l LIA. La jalousie est un bien vilain défaut l LIA. EmptyMar 5 Juil - 1:11

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Flavia et Lia une histoire d’amour? Non loin de là, très loin de là et pourtant cela avait débuté de manière plus qu’idiote et cela n’avait fait que confirmer le dicton qui disait que les amis de nos ennemis sont nos ennemis. En effet, Lia était intervenu entre Flavia et Elena, les deux sœurs pour qu’elles arrêtent de se crier dessus en plein milieu des couloirs de l’université en prenant parti pour Elena son amie bien sûr et depuis ce jour là, la guerre était déclarée entre la jeune oméga et la présidente thêta. Une fois, après cet épisode entre Elena et Flavia, Lia avait été au parc avec Shown. Shown très charmeur avait cueillit des fleurs et vu qu’il ne savait pas qui il devait éviter et vers qui il pouvait aller il était allé vers une jeune femme seule, vers Flavia. La jeune maman avait pris sur elle pour ne pas appeler son fils voyant que la jeune femme avait été touchée par le geste du petit garçon envers elle. Elle avait été fière d’elle, fière de ne pas s’étaler devant tout le monde ce qu’elle détestait faire même si cela lui avait chatouillé les narines. Bref, l’histoire était passée, Lia ne savait pas pourquoi le geste de son fils avait tant touché Flavia mais elle ne voulait pas le savoir ou si elle le savait cela serait pour appuyer dessus pour lui faire mal. La jeune maman était bien loin de penser que ce qui rongeait la jeune oméga était quelque chose qui la rongeait aussi mais sur laquelle elle était réussie à passer. En effet Flavia avait subi un avortement qu’elle regrettait maintenant notamment en voyant des familles mono parentales comme Lia et Shown, tout comme Lia qui avait subi un avortement, elle ne regrettait pas ce qu’elle avait fait mais elle n’en était pas fière du tout car pour elle l’avortement n’était pas une bonne chose et elle aurait préféré ne jamais avoir à y recourir ! Enfin, les jours passèrent, les jeunes femmes se croisèrent de temps à autre mais vraiment rarement vu que c’était les vacances et pas du tout lorsque Lia partie une semaine en France avec Lou et deux semaines en Angleterre avec son fils pour voir ses parents mais le peu qu’elles se croisaient, elles se dévisageaient, se lançaient des regards noirs et cela ne plaisait pas à la jeune maman, pas du tout. Les vacances étaient passées, les choses ne s’arrangeaient pas entre Lia et Aaron, il était parti sans rien lui dire, il ne s’était donc pas occupé de son fils pendant ce temps ni d’elle d’ailleurs alors qu’elle aurait aimé que les vacances leur permettent de passer plus de temps ensemble… Bref c’était dur pour la jeune maman et ce qu’elle découvrait petit à petit par des rumeurs et en vrai ne la faisait que tomber plus bas. Les rumeurs qui couraient disaient que Aaron sortait avec Flavia, cette fille qu’elle détestait tant, elle se demandait bien pourquoi il lui faisait encore cela après tout ce qu’il avait fait. Elle n’avait pas supporté Nina, il s’entendait bien avec, elle n’aimait pas Flavia, il sortait avec… Lia pouvait en supporter beaucoup mais qu’il se mette dans une relation ce n’était pas pour elle elle ne pouvait pas le supporter. Aujourd’hui, les cours n’avaient pas encore repris mais les couloirs de la faculté commençaient à se remplir de nouveau d’étudiants nouveaux ou d’étudiants souhaitant rattraper leur retard de l’année précédente pour ne pas louper leur année arrivante, ce qui était impossible mais ils avaient le droit de rêver. Pour se remettre un peu dans le bain, Lia voulait se rendre à la bibliothèque pour potasser certains bouquins dont elle se servait souvent pour travailler. Elle avait toujours eu une bonne moyenne, dans les meilleures malgré son statut de mère et cela lui avait permis de rentrer en deuxième année de master elle ne comptait donc pas s’arrêter en si bon chemin surtout qu’elle voulait tenter les concours d’avocat l’année d’après et donc réussir et travailler lui donner plus de chance d’y arriver. Alors qu’elle se dirigeait vers la bibliothèque, un chemin qu’elle connaissait bien et qu’elle faisait en général sans embuche, la jeune femme tomba dans le couloir sur un tableau des plus déplaisants. Aaron et Flavia fricotaient, enfin plutôt s’embrassaient à pleine bouche contre les casiers. Pour Lia ce genre d’étalage ne devrait pas être permis non pas parce qu’elle était jalouse et qu’elle avait la haine contre Flavia mais parce qu’elle trouvait cela vraiment trop ragoutant, il y avait un minimum de tenue à avoir pour elle dans un lieu public pour respecter les gens qui les entouraient mais apparemment le jeune thêta si bien élevé pourtant avait l’air d’avoir oublié les bonnes manières. La jeune blondinette à la limite des larmes lorsqu’elle était tombée sur ce tableau hideux était restée à l’autre bout du couloir les regardant faire, attendant qu’ils partent puis la sonnerie avait retentit car oui même si les cours n’avaient pas encore reprit la sonnerie se faisait toujours entendre et Aaron était parti, en cours, peut être après tous il prenait peut être des cours particuliers de danse elle ne le savait pas vu qu’elle n’avait plus de nouvelle et Flavia était restée là. Manque de bol pour Lia elle l’avait vu et la jeune maman voyait bien que de l’autre côté du couloir l’oméga affichait un sourire radieux d’avoir réussi son coup, car oui Lia pouvait l’avouer elle avait réussi son coup, elle l’avait mis sur les nerfs et l’avait touché au plus au point. La blondinette respira un bon coup puis elle se dirigea dans le couloir où Flavia était toujours décidée à passer le plus vite possible cependant, alors qu’elle passait juste à côté de la brunette elle ne put s’empêcher de laisser échapper un petit mot doux. « Sale garce! » La Lia jalouse ne faisait pas dans la dentelle et la Lia en colère donnait dans le cru, elle n’était pas habituée à dire cela mais là c’était sorti du plus profond de son cœur et si la jeune maman ne s’était pas contrôlée lorsque la personne visée par les insultes avaient rigolé face à celles-ci elle se serait retournée et lui aurait mis son point dans la figure mais au final elle ne fit que se retourner et lui dire gentiment avec un beau sourire comme si de rien était. « Au pire des cas, même si tu es avec lui il ne te donnera jamais ce qu’il m’a donné à moi et que tu ne mérites pas: un enfant.» Lia n’avait pas oublié l’épisode du par cet si Flavia avait été autant touchée par le geste de son fils c’est bien qu’il devait y avoir quelque chose qui la touchait à propos des enfants, enfin elle se demandait bien comment car elle ne voyait pas la jeune femme comme une mère ayant perdu un bébé et elle ne voyait pas qui pourrait vouloir la mettre enceinte, une fille comme cela… La joute verbale était commencée et elle n’était pas prête de s’arrêter surement car Lia était bien décidée à ne pas se laisser faire mais Flavia n’avait pas dit non plus son dernier mot et la jeune thêta allait en prendre bien plus dans la figure qu’elle ne l’aurait cru.

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MessageSujet: Re: La jalousie est un bien vilain défaut l LIA. La jalousie est un bien vilain défaut l LIA. EmptyVen 29 Juil - 14:23

LIA C. COOPER & FLAVIA DE SUZA
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    J'avais longtemps tentée de savoir ce que je ressentais pour Lia. C'était si particulier, tellement peu commun. Alors, je mettais penchais dans un premier temps sur la définition et le sens du mot « haine » . La haine, le contraire de l'amour pense-t-on. Mais la haine va bien plus loin que cela, la haine c'est une aversion profonde et violente pour quelqu'un ou pour quelque chose. Non, ce n'était pas ça. Du coup bien que je n'aime pas Lia, loin de là d'ailleurs ce n'était pas ça que j’éprouvais à son égard. C'était plutôt de la pitié, du mépris. Voilà, c'était ça accompagné d'une jalousie profonde. La jalousie.. D'après le dictionnaire c'est un sentiment d'envie à l'égard de quelqu'un qui possède ce que l'on n'a pas ou ce que l'on voudrait avoir. Cela s'accompagne souvent d'hostilité et de dépit. Voilà, j'avais donc trouvée ce que je ressentais à l'égard de Lia. De la jalousie. C'était donc ça alors la jalousie ! Je n'avais que très rarement ressentie ça dans ma vie, sans me vanter, non loin de là, du moins ce n'était pas mon cas petite mais ça l'est sûrement plus aujourd'hui. Petite j'étais une des plus mignonnes des filles de ma classe, jusqu'au lycée j'avais les meilleures notes, les garçons s’intéressaient à moi, en été par exemple toute les filles enragées devant mon bronzage naturelles alors qu'elles devaient passer des heures à lézarder au soleil pour ressembler à quelque chose. Heures pendant lesquelles j'avais le temps de tourner au tour de leur petit copain. Bref, pour l'une des premières fois de ma vie j’éprouvais de la jalousie et c'était tombé sur Lia. Malheureusement on ne choisi pas ces choses là, sinon j'aurais au moins choisie une fille pour laquelle il aurait été compréhensible que je sois jalouse. Cependant j'avais vite ripostée en m'affichant fièrement avec Aaron. L'arroseur arrosé, le retour à l'envoyeur, c'était désormais à son tour d'être jalouse de moi et je n'allais pas me priver pour lui en faire baver d'autant plus que je faisais une pierre de coup en m'en prenant par la même occasion à ma détestée petite sœur. La vengeance est un plat qui se mange glacé et qu'elle se rassure, je viens juste de servir l'apéritif. Certes, ce n'est jamais la meilleure chose à faire mais c'était pourtant la seule chose qui me faisait du bien. J'avais besoin de ça, de combat permanent dans ma vie, de sentir quelque chose en moi, de me sentir vivante, et c 'était la seule solution que j'avais trouvée. Après mon avortement je me sentais tellement mal, tellement vide et surtout si seule et la seule façon, le seul moyen que j'ai trouvé mon ressentir enfin quelque chose c'était ça : les combats, les disputes. Le fait de chercher des moyens de blesser les autres, d'appuyer là où ça fait mal, de trouver leur faiblesse m'aidait tout simplement à oublier les miennes le temps d'un moment, d'une dispute, d'une phrase. Au début, cette histoire avec Aaron était uniquement de simples rumeurs, rien de plus. Mais pour une fois, cette rumeur ne s'est pas éteinte une fois qu'une autre, plus croustillante, à vue le jour, non elle est restée et était dans toute les bouches. Il faut dire qu'une Flavia casée et fidèle ça faisait parler. Et puis j'ai commencée à avoir des échos des réactions qu'avait eu Lia à l'entente de cette rumeur et là plus de doute, il fallait la rendre réelle et l'officialiser pour de bon. Alors que nous étions en train de nous afficher pour l'une des premières fois ensembles dans les couloirs de l'université et que nous nous embrassions à pleine bouche j'aperçus Lia, enfin. Cependant quand je vis cette tristesse, ce chagrin dans ces yeux je regrettai pendant un court instant et voulue tout arrêter. Au fond, peut-être que j'étais en train de faire à Lia bien plus de mal que je ne le souhaitais. C'est vrai au fond je voulais juste l'emmerder un peu mais pas la traumatiser. A force de jouer le rôle d'une garce, je me rendis compte que j'étais malheureusement en train de le devenir pour de bon. C'était assez effrayant. Cependant, toute cette culpabilité disparut à l'instant même où Lia s'approcha de moi, des revolvers à la place des yeux et prononça ces quelques mots : « Sale garce! » Je fis mine d'être choquée et écarquillai les yeux. Avec un léger sourire et de l'air le plus étonnée et surpris que je pus sortir je lui répondis : « Je te demande pardon ? » Oui, une vraie connasse, je me serais mis des baffes à moi-même, espérons que Lia ne soit pas comme moi. Bien entendu Lia, bien que je ne m'y attende pas, ne resta pas sans rien faire et répondit instantanément : « Au pire des cas, même si tu es avec lui il ne te donnera jamais ce qu’il m’a donné à moi et que tu ne mérites pas: un enfant.» Je mettais attendue à absolument tout, vraiment, à des insultes, des cris, des pleures, des hurlements, mais pas à ça, non vraiment. Si nous étions en train de nous battre on pourrait dire que Lia détenait actuellement un couteau très tranchant et extrêmement pointu tant dis que je n'avais pour me défendre que le ridicule petit couteau qui sert à étaler le beurre. Elle avait touchée une corde sensible, mon point sensible, ma faiblesse. Malheureusement pour moi, quand elle sortit ce flot de choses blessantes je ne pus retenir ma surprise tant je ne mis attendais pas et elle dû sûrement voir sur mon visage à quel point j'étais blessée et mal. Cependant il était hors de questions pour moi de rentrer dans son stupide jeu . Je me forçai à rire du mieux que je pus, trop tard certes mais ça pouvait encore passer. De toute façon quitte à me battre autant le faire avec le maximum d'armes jusqu'au bout. « Excuse moi? Qu'est ce que tu veux que je fasse d'un mioche moi ? Non merci je ne fais pas partie des connes dans ton genre qui se font faire un gosse et qui se retrouve seule après ! » Elle m'avait cherchée et les quelques remords que j'avais pu éprouver il y a quelques minutes étaient déjà bien loin maintenant. La guerre était lancée et tous les coups étaient permis.
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