the great escape
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CHA&MILI « here commes the sun. »

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MessageSujet: CHA&MILI « here commes the sun. » CHA&MILI « here commes the sun. » EmptySam 29 Jan - 21:17

CHARLIE & MILITINE
CHA&MILI « here commes the sun. » Sans-titre-17-2504fad

La nuit avait été difficile, j'avais passé la nuit à faire la fête comme j'avais l'habitude de faire. Je ne dois pas avoir à vous avouez que la drogue et l'alcool fessaient partie intégrante de cette soirée. J’étais rentré à la maison plutôt tard, je n'ai pas vraiment regardé l'heure à mon arrivée, trop dans mon monde pour m'en faire avec l'heure. J'avais décidé de dormir chez moi, dans mon lit pour une fois. J'étais pourtant aller chez Woody, pour le rejoindre au milieu de la nuit comme je fessais régulièrement, mais il n'était pas là et je ne savais absolument pas ou il se trouvait. C'était donc en taxi que je retournai chez moi, dans la maison que je partageais avec Charlie et Bela depuis peu. Nous partagions une histoire plutôt hors du commun à nous quatre. J'étais en couple avec Woody alors que Charlie et Bela étaient mariés. Bela avait fréquenté Woody, elle habitait même avec lui alors que moi je résidais dans la même demeure que Charlie. Malgré tout j'étais amie avec Bela, je l'aimais beaucoup, elle m’acceptait comme j'étais. Je me levai donc en début d'après-midi, j'étais vêtu que d'une camisole et d'un petit short. Je vis Charlie, mon colocataire, assit sur le divan dans le salon. Je ne devais pas être bien jolie à regarder et je m'en rendis rapidement compte lorsque j'entrai dans la salle de bain et me vis dans la glace. Comme il y avait que Cha' dans la maison je n'y fis pas attention et décida de ne pas me coiffer. Il m'avait déjà vu dans un état encore pire que ça alors à quoi bon me mettre belle, j'en n'avais pas envie du tout. Je me sentais comme un gros tat de caca de vache. Après m'être verser un verre d'eau j'allai rejoindre mon coloc' dans le salon. Je m'assis à ses coté sur le divan et sans dire un mot je laissai tomber ma tête sur son épaule. La présence de Charlie me clamait toujours, il avait une sorte de pouvoir sur moi ou je ne sais quoi. Je savais que je pouvais toujours compter sur lui, je l’aimais et il m’aimait, nous étions de très bon amis tout simplement. Malgré le fait que parfois nous nous promenions mains dans la main dans les rues de la ville, nous n’avions jamais envisagé être plus que des amis, nous étions bien ainsi un point c’est tout. Et je n’ai absolument aucune honte de dire que j’espère que jamais cela allait changer. Si je devais perdre mon Charlie jamais je ne m’en remettrais. Sans doute que je serais capable de passer des heures à venter mon colocataire, il était tout simplement extraordinaire avec tout le monde. Il devait être une des personnes les plus généreuses que je connaisse. Une chose est sur il valait la peine d’être connu et d’être aimer de tous. Il devait y avoir une seule personne qui n’appréciait pas ce charmant jeune homme et c’était Woody, mon petit ami. Et non ce n’est parce qu’il est jaloux que je vivre avec lui. La seule raison pourquoi Woody n’aime pas Charlie c’est à cause d’une autre femme, une autre femme que moi. La cause de cette haine était Bela, mon amie et la femme de mon colocataire. Je me décidai finalement d’ouvrir la bouche, j’étais bien dans ce silence, mais je n’avais pas été seul avec Charlie depuis un bon moment. J’avais envie de parler avec lui, je savais qu’il serait apte à m’aider dans les choix difficile que j’avais faire. « Qu’est ce que tu fais? » Charlie me connaissait mieux que n’importe qui, à force de vivre ensemble il avait découvert bien des choses à mon sujet. Je pouvais être la plus vague possible qu’il voyait immédiatement que je n’allais pas bien. Notre petit chien vient s’étendre entre nous, je le flattai un peu. J’avais jamais vraiment aimé les animaux, mais ce petit chien je l’aimais plus que tout, il me réconfortait sans jamais me dire que je fessais ci ou ça de mal.
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MessageSujet: Re: CHA&MILI « here commes the sun. » CHA&MILI « here commes the sun. » EmptyDim 30 Jan - 4:21

J'étais là, à fixer le foyer du salon comme un idiot. J'étais sur la lune, avec Neil Amstrong et regardait se qui se passait sur terre, prenant bien note que l'on ne voyait pas la grande murale de Chine d'où on était. Satellite Satellite are you stupid? Nope, un astre ne peut être stupide, par contre, moi si. Je revins de mon voyage sur la petite boule de fromage qui flottait dans le ciel, sentant le chien qui voulait être flatté. Pas maintenant. Pas en pleine méditation. Je devais encore trouver le sens de la vie, découvrir pourquoi la terre était ronde, si les actions humaines pouvaient vraiment avoir une incidence sur le cours de la vie, ou si tout était déjà prévu par une sorte de code, un marionnettiste qui s'en donnait à coeur joie. Je dis à la bête de s'en aller, ce qu'elle fit, pour un moment

J'étais assis là depuis un bon deux heures, à ne rien regarder, à penser comme si c'était la seule chose que je savais faire à la vie, à ma vie, à ce qui allait changer avec l'arrivée du bébé, à ce qui avait déjà changer depuis quelques temps. Je m'étais levé tôt, pour un jour de fin de semaine. Neuf heures. Une pratique pour quand Sid serait là. Eh puis, je m'étais couché tôt la veille. Bela et Mili absentes, la maison était d'un de ses calmes, d'une de ses tristesses aussi, que je ne pus tenir au delà de 23 heures. Pourquoi ne pas être sorti? Simplement parce qu'entant que artiste, je devais m'entraîner. Avec ses deux petites pies dans les parages, ce n'était pas toujours facile, alors, je devais en profiter. Ne pas aller faire la fête, même si c'était plutôt dur, plutôt surprenant aussi de ma part. Tout de même, je ne passai pas une soirée de piano hyper discipliné digne de ma mère, non, je cognais sur les touches joint à la bouche, ce qui m'aurait valu un coup derriere la tête de la part de ma colocataire, parce que je donnais une odeur de merde à nos rideaux, ce qu'elle aurait bien sûr dit en souriant. Je lui aurait répondu de se faire foutre et que je n'étais pas pour commencer à fumer avec des trucs électroniques sans le vrai parfum, comme Depp dans the tourist, qui malheureusement, était un de mes seuls souvenirs du film, parce que j'avais passer le reste de la séance à embrasser ma femme : un truc qui certes énerva nos voisins – j'aurais tellement été insulté à leur place – mais qui me fit réaliser la vrai utilité du truc pour séparer les bancs : pas trop de rapprochements. Je me levai donc à neuf heures, frais et dispo. Je pris une douche assez courte, je m'habillai, et puis, en bon coloc que j'étais, je demandais à Mili si elle ne voulait pas un truc de chez le pâtissier à quoi je n'eus pas de réponse. À la gueule qu'elle tirait en dormant, je pouvais deviner ce qu'elle avait fait la veille. Elle avait consumé un élan de jeunesse, la chanceuse. J'aurais bien pu la réveiller, rire un peu, faire du bruit et allumer toutes les lumières de la maison, ouvrir les rideaux, mais j'étais trop gentil, et surtout, j'avais une trop grande connaissance des sentiments qu'elle allait vivre à son réveil. Alors, je parti tout seul chez le pâtissier, prenant un peu de tout, pour être certain qu'elle trouverais son bonheur à son réveil, ouaip, un mec trop gentil. De retour à la maison, je fis une pyramide avec ce que j'avais acheté, Une fois fini, je recouverts le tout d'une cloche à gateau, je donnai à manger au chien, et je déjeunai. Le tout fini, je pris place sur le divan du salon, pour ma méditation, qui dura longtemps, qui aurait pu durer toute la vie, si je n'aurais pas vu ma Militine chérie passer devant moi. Ça causa une coupure dans mon esprit, un bouleversement de mes idées, alors, je dus recommencer. J'étais sur le point d'élaborer une thèse plausible sur la raison pour la quelle il n'y avait pas de fruit ou de légumes de forme cubique quand je sentis sa tête se poser sur mon épaule. Ce qui, encore une fois, fit tourner les idées dans ma tête. Elle avait besoin de méditer, elle aussi. Elle avait besoin de découvrir la vraie nature des choses, des gens, de Woody, surtout. J'étais sur le point de retourner dans le labyrinthe d'hypothèses que j'avais créer dans mon sub-conscient, quand ma colocataire me demanda ce que je faisais. Déconnexion d'avec l'univers, fini la méditation. Ma vision retrouva sa clarté habituelle, mes membres recommencèrent à bouger plus normalement, ma respiration s'accéléra un tout petit peu, j'étais de retour sur terre. Ce qui fut confirmé par le sentiment de joie que j'eus quand le petit chien de la maisonnée vint nous rejoindre. J'étais finalement prêt à répondre à la petite Mili.

« Je méditais. Je pensais à tout et a rien. Je faisais le vide d'ondes négatives. Des conneries du genre, mais ça fait du bien, réellement. Ça me donne l'impression d'être en paix avec les galaxies. Bref. Ça ne va pas trop mal, petite fêtarde? »

J'avais tellement l'impression d'être le mec calme et mature, à ce moment là. Comme si je n'avais jamais fait de conneries, comme si j'étais supérieur, pourtant, elle devait m'avoir posé la même question il n'y a pas une semaine, après une fête, alors que j'étais en plein rendez vous avec la toilette. Je ne supportais pas l'alcool, bon. Je préférais de loin l'amour et les autres drogues – autre référence cinématographique que je pouvais faire, mais seulement parce que Bela c'était arrêté quand elle avait entendu la voix de ce Jake à la con – les décentes étaient plus agréables : il n'y avait pas ce goût atroce qu'à le vomi de lendemain de veille. Certes, les descentes avaient leurs désagréments aussi, mais c'était plus psychologique. Il ne fallait tout simplement pas devenir accroc, et tout allait. Être en paix avec soit même... méditer, le cercle de la vie, quoi. C'était un des trucs que mon papa m'avait apprise, rester calme devant tout événement. C'était probablement ce qui m'avait sauvé la vie, le jour où... Bang bang. Parce que j'aurais très bien pu perdre mon sang froid. Foncé en plein sur se connard. Il l'aurait eut facile. M'aurait posé son fusil sur la tempe et je serais mort. Pas blessé, pas dans un coma, ni même dans un état végétatif, critique, Je serais mort. M.o.r.t. Décédé, parti. Pour toujours. Mili aurait été seule, avec ce connard. Il n'aurait eut personne pour lui lancer des regards noir, pour mettre le malaise dans la pièce, le forçant à partir. À la laisser tranquille, parce qu'elle ne voulait pas de sa présence, le hic, c'est qu'elle ne le savait pas encore. Elle n'avait pas réalisé a quel point il était vil, Comme il était impensable de lui donner de l'attention, vu sa méchanceté. C'était un être sans but. Qui ne méritait certainement pas mili. Elle méritait quelqu'un d'intelligent, de généreux, qui l'aimait, et qui ne la prenait pas seulement pour une béquille. Elle méritait quelqu'un qui comblerait ses besoins sans ce soucier de ce qu'elle pouvait lui donner. Quelqu'un avec qui elle pourrait fonder quelque chose, quelqu'un avec qui être bien... et en sécurité. Ce qu'elle n'avait décidément pas avec l'autre. Une personne honnête serait certainement un plus. Parce que ce n'était pas ce qu'elle avait, en ce moment. Woody n'était certainement pas si bien avec elle qu'il le disait; et même s'il l'était, il aurait alors menti à Bela. La solution? Simple. Le laisser. Qu'il meurt dans ses larmes, mieux, qu'il parte et qu'il ait trop honte de ses actions, de l'image qu'il avait donné de lui, qu'il ne veuille plus revenir et qui laisse les étudiants de berkeley et la communauté de San Francisco tranquille pour une fois. Je savais que si j'en parlais à ma colocataire, elle me croirait. Elle savait que je n'étais pas le genre de personne à mentir, et que je faisais tout pour son bien. Le truc, c'est que si je lui disais les choses clairement, je pourrais avoir un meurtre sur la conscience. Je tournai la tête en sa direction et je lui souris, je voulais lui montrer, en quelques sortes que j'allais bien, et que je voulais la soutenir, même si je ne savais pas pourquoi je le faisais. Je flattai le chien avec elle. Il n'avait pas l'air de m'en vouloir, bien que je n'ai pas été très gentil avec lui, plus tôt. Ce chien était un être merveilleux.
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