Albert Camus à un jour écrit ‘’ Il y a seulement de la malchance à n'être pas aimé; il y a du malheur à ne point aimer.’’ Militine fessait définitivement partie des gens malchanceux, jamais elle n’avait connu l’amour, le vrai. Elle était déjà tombé sous le charmes de plusieurs garçons, mais aucun d’entre eux n’éprouvaient les mêmes sentiments à l’égard de la jeune femme. Mais la jolie Penrose avait décidé qu’il était temps de rompre ce sort qu’elle portait avec elle depuis beaucoup trop longtemps. Cette année allait être un renouveau pour elle, elle ne ce laisserait plus marcher sur les pieds et dirait tout haut ce qu’elle pense tout bas depuis tant d’années, au diable ce qu’en pense les autres Militine recherchait tout simplement à être heureuse pour une fois dans sa vie.

C’est assise dans Bayview park que la jeune femme en était venu à cette conclusion, sa vie avait besoin de changement. Il était hors de question qu’une histoire comme celle avec Drew ou Edward ce reproduise encore une fois. Elle avait suffisamment souffert. Il était passé 23h00 et Militine était toujours assise sur un banc de parc à regarder les gens vivre au tour d’elle. Souvent on lui avait dit de ne pas venir à cette endroit passé 22h00 puisqu’on ne savait jamais sur on pouvait tomber la nuit tomber. Elle commençait à croire ce qu’on lui avait dit sur ce parc, depuis les 20 dernières minutes elle avait vu au moins 4 transactions de drogue ce faire sous ses yeux, une fille avait enlever tout ces vêtements et avait couru nu pendant au moins 10 min sous le regard de plusieurs personnes sans vraiment y porter attention et puis un peu plus loin elle avait vu un jeune homme sortir un couteau de sa poche et le branler au visage d’un autre. Une chance qu’elle trainait toujours son poivre de Cayenne avec elle dans son sac.

Militine décida de rester assise au même endroit malgré toute l’activité qui ce déroulait au tour d’elle, elle avait l’impression d’être invisible aux yeux des autres, seule dans un coin sombre sous un arbre, comme si là personne ne pouvait la voir. Elle prit tout de même sa petite bouteille de poivre dans sa main et la cacha au creux de sa poche en cas d’un éventuel attaque. Plusieurs jeunes d’environs le même âge qu’elle fessait la fête à quelques mètres d’elle, une jeune femme vient lui offrir une bière, mais elle préférait rester à l’écart de tout ce brouhaha. Finalement Militine décida vers minuit qu’il était temps de rentrer chez elle, elle en avait suffisamment vu pour ce soir et ne voulait pas se retrouver en page couverture de tous les journaux le lendemain matin parce qu’elle avait été assassiné. C’est en se levant qu’elle eu presque un arrêt cardiaque, un jeune homme ce trouvait tout juste derrière elle lorsqu’elle se retourna pour aller vers la sorti du parc. Elle ne le connaissait pas, mais lui la regardait comme si il la connaissait depuis longtemps, sans doute que la pénombre la fessait ressembler à quelqu’un qu’il connaissait vraiment et qu’il c’était approcher de la jeune femme pour vérifier ces croyances.

« Ma Constance ! Tu m’as manqué ! »

« Constance ?! T’es là ?! Que se passe t-il ?! »

Pourquoi l'inconnu devant elle était aussi souriant, la jeune femme n'y comprenait rien. Il n'avait pas l'air d'un dangereux terroriste avec ce sourire aux lèvres, mais lorsqu'il la prit dans ses bras elle fut prise de panique. Faut dire que c'était la première fois qu'un inconnue la serrait de la sorte dans ses bras et puis les environs lui disait de ne pas faire confiance à ce jeune homme à la chevelure sombre. Militine serra très fort sa petite bouteille de poivre et la sortit tranquillement de sa poche en bougeant très lentement afin de ne pas alarmé son interlocuteur. Puis il lui chuchota quelques mots à l'oreille, elle était tellement paniquer par la situation qu'elle n'arriva même pas à comprendre ce qu'il avait dit. Tout ce qu'elle avait remarquer c'était l'accent étranger de l'inconnu, mais elle n'était même pas parvenu à identifier d'où il pouvait bien venir avec cet accent. Le parc était encore bouillant d'activités et quelques secondes plus tard le jeune inconnue porta sont attention ailler que sur Mili. Elle en profita alors pour asperger de poivre de Cayenne le jeune homme qui se trouvait qu'à quelques centimètre de son visage. Elle du se fermer les yeux quelques secondes afin d'être sur de ne pas en recevoir également dans les yeux. La brunette fut surprise de la réaction de l'inconnue, elle n'avait encore jamais eu à utiliser son poivre et qui sait peut-être en avait-elle trop mit directement dans les yeux du jeune homme. Il tomba au sol et ne semblait plus comprendre ce qui ce passait au tour de lui. Après tout c'était bien fait pour lui, il n'avait qu'à ne pas s'en prendre à une pauvre jeune femme sans défense. Celui qu'elle prenait pour un agresseur laissa sortir plusieurs cri de douleur. Définitivement, Militine ne voulait jamais recevoir de ce truc sur elle, mais en ce moment elle était bien heureuse d'avoir eu cette bouteille avec elle. Tandis que l'inconnue souffrait au sol, la jeune femme ne bougea pas, sans doute perturbée parce qu'il venait de ce produire. Un groupe de gens c'était maintenant regrouper autour d'eux, les cris du jeune homme avait attiré les foules. Tous parlaient plus fort les un que les autres et Militine resta planter là sans rien faire pendant plusieurs minutes. Soudainement elle reprit ses esprit, elle finit par comprendre ce que le jeune homme dit, il cherchait une certaine Constance pourtant il était arrivé seul, personne ne l'avait accompagner.

« Il y a une Constance ici? Il cherche Constance. Elle est où? »

Elle n'avait pas encore comprit qu'il croyait que c'était elle Constance. La jolie brunette se pencha près du jeune homme en douleur et l'aida à s'assoir sur le banc près d'eux. Les gens qui avait former un cercle autour d'eux se dispersèrent peu à peu et ils ce retrouvèrent bientôt seul assit sur le banc. Il avait encore les yeux fermer et semblait être dans une douleur atroce, Militine ne savait plus quoi faire. Si elle l'aide peut-être va t-il la violer une fois qu'il aura retrouver la vu, mais sa conscience lui disait qu'elle ne pouvait pas le lasser ici seul comme ça. Elle ce décida finalement d'aider le pauvre jeune homme à retrouver son amie, il n'Arriverait sans doute pas à se rendre chez lui dans cette état de toute façon, il lui fallait retrouver cette personne pour qu'il puisse retrouver son chemin sans danger.

« Elle était où ton amie la dernière fois que tu la vu? Elle ressemble à quoi, je vais aller la chercher pour qu'elle te ramène chez toi. Tu as pas trop mal? Tu te sens bien? Tu peux ouvrir les yeux? Veux-tu un peu d'eau pour mettre sur tes yeux? J'ai entendu dire que ça pouvait aider pour le poivre dans les yeux. T'es bien assit? »

Elle devait avoir complètement folle, mais elle ne voulait pas avoir causé trop de dommage à une personne qu'elle ne connaissait pas du tout. Militine regardait sans cesse au tour d'elle si elle ne voyait pas une jeune femme qui pourrait connaitre l'inconnue assit à ses coté. Mais personne ne semblait chercher de jeune homme dans les environs. Finalement, elle sortit une bouteille d'eau de son sac et l'ouvrit tranquillement. Elle ne pouvait pas la lui donner, il ne verrai sans doute pas ou il mettrai l'eau.

« Penche un peu ta tête vers l'arrière, je vais mettre un peu d'eau dans tes yeux. »

Il exécuta et elle laissa l'eau couler tranquillement de la bouteille, comme elle tremblait encore elle en mit un peu par tout par accident, mais le jeune homme ne semblait pas sens faire avec l'eau qui coulait partout sur lui, il semblait même plutôt soulager. Quelques secondes plus tard il ouvrir enfin les yeux de quelques millimètres.

« Je.. désolé.. de.. je t’ai pris pour quelqu’un d’autre. – La ressemblance était tellement bien que j’en étais carrément gêné, je ne savais presque pas quoi dire mais je ne quittais pas son regard – Ma meilleure amie te ressemble a quelques détails près, ton accent est différent .. je suis encore désolé.. . – Bon, assez les excuses, ce n’était pas mon genre – Je m’appelle Charles-Édouard Castello.. et toi ? »

Les mains tremblante encore, la jeune femme regarda le jeune homme droit dans les yeux une fois qu'il les avait complètement ouvert. Elle espérait en quelque sorte y trouver un regard connu ou du moins réconfortant. Rapidement il se leva et enleva son t-shirt trempé, c'est elle qui avait fait ça, comment avait-elle pu mettre de l'eau partout comme ça alors qu'il avait complètement penché sa tête hors du banc. Définitivement ce n'était pas sa soirée. Le regard de la jeune femme ne quitta pas une seconde l'inconnue devant elle, qui tout à coup ne semblait plus aussi dangereux qu'il n'en avait l'air cinq minutes plus tôt. Elle avait paniquée beaucoup trop vite, lui avoir laisser le temps de parler un peu plus elle aurait sans doute remarquer qu'il avait fait erreur sur la personne ce qui aurait pu éviter bien des soucis. Mais sa peur avait prit le dessus sur tout, elle ne contrôlait plus ses actes. Par chance tout c'était bien terminer, il avait retrouver la vue et Militine ne c'était pas fait attaquer. Pour un instant, il avait à lui en vouloir de l'avoir tremper de la sorte, mais rapidement elle vu un changement dans le regard du jeune homme, comme s'il était fasciner par elle. Mili ce crut quasiment dans une scène de Twilight lorsque Edward contemple Bella xD Elle finit par sortir de ses pensé lorsque le jeune homme lui parla, il avait une voix chaude et si charmante son accent la fessait craquer, elle avait toujours aimer les garçons avec un accent d'ailleurs, il sont tellement plus sexy que les autres. Il s'excusa et avoua s'être tromper de personne, il l'avait prise pour sa meilleure amie Constance. Militine comprit enfin pourquoi elle ne trouvait cette Constance nul part maintenant. Il semblait être vraiment désoler de lui avoir causé une telle frousse, pourtant ce devait être elle qui devait désoler, elle l'avait asperger de poivre ce qui ne devait pas être agréable du tout. Elle ne pouvait pas lui en vouloir, surtout avec la façon dont il la regardait, elle en avait le coeur qui battait plus rapidement.

« Non ... c'est moi qui est désolé, je ... je voulais pas te faire mal ... bah si en fait, je croyait que tu voulais me tuer ... » Elle sourit un peu embarrasser et puis elle poursuit. « À l'avenir je saurai qui si on me regarde de cette façon c'est qu'on me confond avec une autre. Enchanté Charles-Edouard, moi c'est Militine pour le moment et si jamais t'es gentil t'aura peut-être droit à la suite de nom nom! »

Elle voulait garder un peu de mystère et après tout elle ne le connaissait pas vraiment. Militine n'était toujours pas convaincu qu'il ne soit pas un agresseur, elle ne voulait donc pas qu'il la retrouve, la viole et la tue. Vraiment ce soir elle ne voulait pas mourir, elle en était obsédé. Elle regarda CEC de bas en haut et remarqua que le vent léger lui donnait des frissons, à cette heure ce n'était pas très chaud normal qu'il est froid torses nu et tremper. Mili aurait bien aimer lui offrir quelque chose à ce mettre sur le dos, mais elle n'avait que les vêtements qu'elle portait et n'avait pas vraiment envie de ce retrouver en soutient-gorge en public. Deux choix s'offrait donc elle, soit elle lui proposait de le ramener chez lui ou bien elle pouvait lui offrir de venir chez elle comme ce n'est pas vraiment loin d'ici. Elle opta pour le deuxième choix, au pire il la violera, quoi que beau comme il est elle le laisserait sans doute faire.

« Tu semble gelé, j'ai rien à te donner pour te réchauffer, mais j'habite pas très loi d'ici si tu veux tu pourra y prendre une douche chaud et je ferrai sécher tes vêtements. Ma voiture est près de la sortit. »

Sans vraiment sans rendre compte tout en disait ces quelques mots la jeune femme caressait le bras du jeune homme de bas en haut de façon à le réchauffer un peu. Comme si frotter un peu un seul bras allait le garder au chaud. Elle n'attendit même pas la réponse de Charles-Edouard que déjà elle était debout et prête à partir, elle lui fit signe de la suivre puis elle se mit en marche en compagnie de celui qu'elle imaginait lui enlever la vie. Ils marchait en silence dans les sentiers aménager lorsque Militine entendit un craquement de pas derrière eux, puis un autre et un autre. Elle fut une autre fois prise de panique et instinctivement elle s'agrippa au bras de CEC comme un enfant s'accroche à la jambe de sa maman. Au moins cette fois elle avait un homme pour la protéger.

« C’était juste un chat, j’étais là de toute façon Mademoiselle Militine – accentuant sur le nom seule – Je te suis vu que je n’ai plus le choix, tu m’as kidnappé, c’est toi qui m’a attaqué en faite pour me kidnapper en prétextant tout cela, avoue ! – Blague bien sûr .. quoique. – Alors, qu’elle est ta voiture ? »

« Je conduis, s’il te plaîiiiiiiiiit ! Je sais qu’on se connaît qu’un peu mais tu n’auras qu’a me dire le chemin, ça te va ? »

Un chat, ce n'était qu'un simple chat, un petit Hello Kitty tout inoffensif. Pourtant elle avait juré avoir entendu des pas plus fort que ceux d'un chat, elle devait halluciné, portant elle n'avait consommer aucune drogue hallucinogène, du moins pas qu'elle le sache. Qui sait peut-être que les vapeurs de poivre rendait les gens fous. Quoique Militine n'avait pas besoin d'aucune substance illicite ou pas pour être folle. Elle était reconnu pour sa follerie à Berkeley, mais pas le genre ''funny girl''. Tous la prenait littéralement pour une folle, par chance que très peu nombreux sont ceux qui savent qu'elle voit un psychologue. Ils avaient sans doute pas tord, pour faire ce qu'elle fessait à son corps fallait inévitablement être folle. Mais si il y avait que ça, elle avait la fâcheuse habitudes de devenir complètement accro au premier qui lui donnait un tant si peu d'attention, en manque d'amour? Peut-être bien! Peut-être ce cachait-il un manque de confiance en soi derrière tout ça, qui sait? Allait-il ce passé exactement la même chose avec Charles-Edouard qu'avec tous les autres avant lui qui avait oser trop près d'elle. Peut-être bien, après c'était un homme lui aussi et allait sans doute faire comme les précédent. Une fois qu'elle sera amoureuse de lui, du moins qu'elle croit l'être, il la vira comme un vieille chaussette tandis qu'elle continuera d'imaginer leur mariage et de trouver des noms à leur futur enfants. Elle chassa rapidement ses idées de sa tête, elle ne le connaissait même pas, peut-être était-il différent? Ou allait-il devenir son meilleur ami? Il y avait qu'une seule façon de le savoir et c'était de se laisser aller, elle ne devait pas avoir peur de ce qui allait ce produire, et de toute façon ce n'était pas son genre de se sauver ainsi, elle aime beaucoup trop l'attention que les hommes peuvent lui donner. Au pire des cas elle aura le coeur brisé une fois de plus. Elle venait tout juste de mettre à la poubelle la nouvelle Militine qu'elle voulait être il a à peine une heure et était déjà revenu à l'ancienne Militine, celle prête à tout pour si peu d'amour. La jeune femme reprit ses esprit et repensa au chat qu'elle avait prit pour un second agresseur. Une chance qu'elle avait eu CEC à ses coté à cette instant, si elle aurait été seule Militine serait sans doute parti en courant tout en criant du plus fort qu'elle l'aurait pu.

« Qu'un chat! T'en ai sur? ... Je suis désoler d'avoir paniquer pour rien alors. » Elle lui sourit encore une fois un peu embarrasser de la situation. « J'aurais bien aimer avoir cette idée! »

Elle aime bien les hommes et leur compagnie, mais pas jusqu'à prétexter un tel évènement pour en avoir un dans son lit. Surtout pas avec un inconnu, elle est bien trop peureuse pour cela, difficile à croire qu'elle est grandit dans la folie de New York avec cette peur atroce de ce faire attaquer. Ou justement comme sa mère lui disait toujours de faire attention dans quel quartier elle mettait les pieds, elle avait prit l'habitude de craindre tout ceux qu'elle ne connaissait pas. Ce n'est pas pour rien qu'elle trainait toujours sa bouteille de poivre xD Militine resta accrocher au bars de son compagnon, elle se sentait plus en sécurité de cette façon et lui ne semblait pas vouloir qu'elle s'éloigne. Elle laissa finalement aller son bras lorsqu'ils furent arrivé près de sa voiture, elle sortit les clés et rapidement elle se retrouva sans clés à la main, Charles les ayant pris ornementer d'une grimace. Il était si mignon avec cet esprit de jeunesse, elle se sentait bien.

« C'est .... » Elle n'eu même pas le temps de pointer sa voiture que CEC avait déjà appuyer sur la petite télécommande. « ... celle là!»

Il voulait conduire son bébé, Militine avait beau être une fille, mais ses voitures, oui ses xD c'était comme ses bébés. Elle était fan de belles voiture luxueuse et possédait trois juste à elle. Ce soir elle avait prit la plus précieuse en plus, personne d'autre qu'elle ne l'avait jamais conduit, à part son père une seule fois lorsqu'il lui avait offert en cadeau de fin d'année. La brunette avait envie de lui crier de ne pas toucher à sa voiture, mais sans qu'elle eu le temps de dire un seul mot il était déjà bien installer coté conducteur. Elle prit une énorme respiration puis s'assit du coté passager. Mili fit une prière intérieur afin que cette nouvelle connaissance ne conduise pas trop rapidement et surtout qu'il ne rentre pas sa jolie petite automobile dans un immeuble. Le moteur résonna puis le bolide se mit à avancer tranquillement dans la mauvaise direction.

« Tu fera demi-tour à la prochaine lumière, tu vas pas dans la bonne direction! »

La jeune femme se tourna la tête et regarda Charles-Edouard de haut en bas avec un petit sourire en coin aux lèvres. Son regard remonta tranquillement puis elle resta fixé quelques secondes sur ce qui lui semblait être une érection :O Mili continua de remonter le regard jusqu'au yeux de CEC où elle remarqua qu'il la regardait de façon vraiment charmante, elle craqua. Ça y est, elle allait sans doute ce réveiller demain matin complètement accro à ce sourire, ce visage, ces mains, tout de lui semblait être parfait aux yeux de la jeune femmes. Mme Penrose se demande si il l'avait vu resté fixé sur son érection de la sorte, elle rougi un peu juste à l'idée qu'il l'ai vu et maladroitement elle remit ses cheveux derrière son oreille.

« Tu habites un peu loin, non ? – Je ne savais pas quoi dire d’autres – Tu es à Berkeley aussi non ? Il me semble t’avoir aperçu une fois, mais bon, j’aurais pu te confondre avec ma meilleure amie. C’est flatteur hein ! Elle est aussi magnifique que toi. – Un petit compliment – Je suis chez les Gamma moi.. et toi ? »

Jusqu'à maintenant Charles-Edouard fessait attention à sa voiture et elle lui en était reconnaissante, sans doute avait-il vu dans ses yeux l'amour qu'elle portait à sa petite Audi chérie. Bien qu'elle devait régulièrement faire la route jusqu'à chez elle, ce soir elle avait trouver le moyen de perdre son chemin. Ils étaient passé tout droit la rue ou ils auraient du tourné depuis quelques minutes déjà, mais Militine ne s'en était pas encore rendu compte, peut-être était-elle trop envoutée par la jolie créature à ses cotés. Elle ne semblait même pas se rendre compte que les immeubles qui les entouraient n'était pas familier du tout aux yeux de la jeune femme. Par chance ils n'avaient pas pris une autre rue, au moment où elle s'en rendra compte ils auront qu'à faire demi-tour pour une secondes fois. Et puis après tout, chacune des malchances qui c'était produit ce soir avait finalement été tout sauf un moment de malchance. Sans sa peur maladive des inconnues, elle n'aurait peut-être jamais été dans sa voiture avec l'un des plus beaux hommes qu'elle avait de sa vie. Il aurait sans doute que continuer son chemin lorsqu'il aurait apprit qu'elle n'était pas sa meilleure amie. Soudainement un frison traversa son corps entier, il l'avait touché. La main du jeune homme avait effleurer son bras, elle n'avait aucune idée si le geste était prémédité ou pas, mais cela lui avait fait tant d'effet. Militine affichait un sourire continuelle sur son visage, elle n'avait pas envie que se moment ce terminer. Mais elle du faire face à la réalité, elle c'était tromper de chemin, maintenant elle le savait. Lorsque sa nouvelle addiction mentionna que finalement elle habitait loin, elle réalisa qu'elle n'avait jamais vu les magasins et entreprises qui ce trouvaient près d'eux. Elle se sentit gêner, Mili avait presque honte d'avouer son erreur, mais elle devait le faire si non jamais ils arriveraient chez elle.

« Hum ... en fait .... heu .... il aurait hum ... tourné à gauche il y a .... quelques rues déjà ... »

Elle devait avoir l'air ridicule en ce moment même, mais il avait vu bien plus pire que ça d'elle en cette nuit plus qu'étrange. La situation n'avait pas l'air de déranger CEC, après tout il allait pouvoir profiter de la voiture de Militine un peu plus longtemps et faut pas ce que cacher, qui refuserait de conduire un tel bolide? Il allait à Berkeley tout comme elle, elle en fut ravie d'apprendre qu'il était éduquer , elle savait que l'obtention d'un diplôme universitaire était très important pour la famille Penrose . Ils fessait à présent demi-tour et reprenait la route dans la bonne direction. Cette fois la brunette allait être plus attentive à l'extérieur de la voiture.

« Oui je suis à Berkeley aussi. Ce n'est pas ce que tu viens tout juste de faire? » Elle lui fit un sourire moqueur. « Oh merci, mais tu te rendra rapidement compte que je suis encore plus merveilleuse que quiconque!! Je suis pas dans une confrérie en fait, je sais je suis pas normale. »

Militine ne comptait plus les fois où on lui avait dit qu'elle ne vivrait pas la vrai vie universitaire si elle ne fessait pas partie d'une confrérie, mais elle n'en avait pas eu envie à son inscription, mais avec l'été qu'elle venait de vivre elle commençait à avoir de plus en plus envie à se joindre à une confrérie, mais elle ne savait pas vraiment la quelle était la mieux pour elle encore. La jeune femme indiqua au conducteur de sa voiture où il devait aller pour arriver chez elle. Quelques minutes plus tard, ils était enfin arrivé à la petite maison de plage que son père lui avait acheter pour le temps de ses études. Charles-Edouard gara la voiture dans le garage puis elle le dirigea vers la porte d'entré dans le noir. Elle n'avait pas allumé les lumière extérieur avant de quitter plus tôt dans la journée. Mme Penrose n'y voyait pratiquement rien dans cette obscurité, elle eu l'impression de toucher le beau ténébreux à ses coté, sans vraiment savoir où elle le touchait, chaque toucher était magique. Elle finit par ouvrir la porte après avoir essayer trois clés dans la serrure, elle laissa priorité à Charles pour entré qui la laissa passé à son tour, elle entra et ouvrit seulement quelques lumières pour garder un effet intime.

« Bienvenue chez moi!! Je te ferrai le tour si tu veux après que tu te sois mit au chaud. » Elle alla dans la salle de bain et prit sa robe de chambre qu'elle tendit à CEC. « T'as qu'à mettre ça le temps que je passe tes vêtements un peu à la sécheuse. »

Pendant qu'il se changeait dans la salle de bain, Mili se rendit à la cuisine et puis versa deux verre de champagne avant de retourner au salon afin d'attendre Charles-Edouard. Si elle avait connu un peu plus elle aurait sans doute mit de la lingerie pour l'attendre, mais comme elle venait de le rencontré Militine allait attendre un peu avant de le surprendre de cette façon.