Hum.

Il avait la bouche pâteuse, comme sellée par la salive qui avait séché sur sa bouche, durant la nuit. Il devait être neuf heures. Charlie s'étira, avant de retrouver une vision a peut près correcte de sa chambre. C'était le bordel, comme d'habitude. Il y avait des vêtements partout, comme des cadavres dans la pièce. Il y avait ses vêtements de la veille, son tee-shirt de Pikachu étalé sur le téléviseur, son jean bleu pâle sur le sol, rejoignant une paire de chaussettes noires. Il y avait même des sous-vêtements sur la lampe de chevet. Il renifla et regarda a ses côtés, dans le lit, son homme, Maxence. Il dormait encore. Il fallait dire qu'il était tôt et qu'ils n'avaient pas chômer la vielle. D'ailleurs Charlie avait un peu mal à l'arrière train. Hum. Il n'avait pas envie de se lever, pas maintenant. Il se ré-allongea, a coter de Maxence. Qu'il était mignon, comme ça, au pays des rêves. Charlie essaya, tant bien que mal, d'enlacer son petit ami, sans le réveiller. Finalement, il finit par battre en retraite et par seulement coller son grand corps contre celui de Maxence, qui était tout chaud. Miam. Il regarda l'heure, acceptable. D'ailleurs, il était amplement temps de réveiller Maxence, parce que Charlie avait envie de prendre sa douche et que Maxence était un expert; le meilleur laveur de dos au monde. Comme la veille, juste avant d'aller dormir, ils s'étaient douchés et étaient aller dormir, à une heure presque matinale.

Comment réveiller son mari de façon efficace. Simple, probablement, des bisous, c'était toujours un bon moyen, non? Charlie essaya, commençant par l'épaule et allant jusqu'à la nuque. Oh? Les yeux de Maxence bougeaient. Soit ça fonctionnait bien, soit Maxence faisait un rêve. Pour confirmer la première option, Charlie murmura quelques mots à l'oreille de Maxence, du genre « Mon amoureux, il est l'heure de se lever en ce beau Samedi...» Miam. Le mari de Charlie avait un goût si particulier. Il était comme une glace a la vanille, et Dieu savait très bien a quel point Charlie aimait ce parfum de glace. Le petit Chat serra son mari contre lui, pour s'assurer qu'il soit bien sortit des bras de Morphée, et se leva, cherchant un truc avec quoi s'habiller. Il trouva finalement, sur sa commode, un pantalon de pyjama, un cadeau de sa demi-soeur Hannah, parce qu'il n'aurait jamais acheter cela, et l'enfila. Il soupira, assit sur le coin de son lit. Maxence n'avait pas l'air de vouloir se bouger. Charlie devrait user de la bonne vielle méthode. Charlie s'assit à califourchon sur Maxence et le fixa. Un sourire en coin apparut sur les lèvres de l'Omega, qui voyait les yeux de son mari, a peine ouverts, se couvrir d'une fine pluie d'eau, que Charlie lui balançais sur le visage a l'aide de son vaporisateur. Il était diabolique.

CHARLIE NOAH SILVER. ; J'invites mon amoureux au restaurant ce matin, il en a envie, tu crois... OH MERDE. MAXENCE. LÈVES & HABILLES, JE SUIS EN RETARD. MAIS VRAIMENT EN RETARD. ALORS, GROUILLES TES TRÈS JOLIES FESSES.

eh merde. Il avait totalement oublier son rendez vous avec Sam, ce matin là. Il allait être en retard, s'il ne l'était pas déjà, et il savait que Sam n'était pas du genre a être très tolérante, en plus qu'ils ne s'étaient pas vus depuis un moment. Il mit la pièce tout à l'envers en cherchant des pantalons. Il finit par trouver ses pantalons bleus – pas d'un bleu jean, d'un vrai bleu ciel – sous son lit. Il trouva aussi son tee-shirt noir, avec un col en V et un « LENNON.» sur le devant dans sa mini salle de bain. Il trouva le reste de ce qu'il avait besoin dans le panier de linge sale, qui servait en fait de panier de linge propre, car le linge sale était éparpillé un peu partout, a travers d'autres vêtements propres. Décidément, Charlie devrait revoir son organisation. Il ne prit même pas le temps de se coiffer, étant pressé. Il s'arrêta quelques secondes, pour regarder Maxence, qui ne devait pas tout comprendre, il fallait dire que Charlie avait éparnier plusieurs détails important. Alors, il décida de s'expliquer, en tirant sur les lacets de ses Dr Martens noires.

CHARLIE NOAH SILVER ; En gros, j'ai rendez vous avec une amie, tu sais Sam? Au resto ce matin, mais j'avais totalement oublier, tu veux bien venir? On pourra faire un truc, comme ça, après. Du genre... faire les boutiques, parce que j'ai sérieusement besoin de nouveaux draps, ou n'importe quoi. Bref, j'organise ta journée, et tu n'as rien a dire, parce que je t'aime.

Oh. il avait presque oublier de mettre son alliance. Il avait, depuis quelques temps, une envie folle de la porter tout les jours. Il s'étira donc pour la prendre dans sa table de chevet et la mis. Il n'avait jamais vu de truc aussi merveilleux. Juste un petit anneau, mais il était tellement heureux de savoir qu'il l'avait. Il tappa du pieds en regardant Maxence finir de se préparer, et puis ils sortirent, marchant jusqu'au restaurant où Charlie avait rendez vous avec Sam. Ils entrèrent et Charlie vit tout de suite Sam, au fond de la salle. Ce n'avait pas trop été difficile, elle portait les vêtements de Charlie, elle avait même oser mettre son tee-shirt favori, qu'il avait perdu depuis un moment déjà. Il s'approcha tranquillement, tirant Maxence par la main. Il stressait. Il avait malgré lui peur qu'une catastrophe se produise. Sam lui tappota une place près d'elle, que Charlie n'eut pas d'autres choix que de prendre. Il montra une chaise à Maxence, en face de lui, de sorte qu'ils pourraient s'entre croiser les jambes, une chose que Charlie adorait. Sam posa sa tête sur l'épaule de Charlie en lui demanda comment il allait. Il sourit et essaya de formuler une réponse correcte;

CHARLIE NOAH SILVER ; Je vais bien. Je ne vois pas comment j'aurais pu aller mal. Je suis follement amoureux de la personne la plus merveilleuse de que cette terre ai connue, je fais ce que j'aime tout les jours en classes, je déjeune avec la merveilleuse Sam et je ne vois pas trop de noir à l'horizon.

Il se tourna vers Maxence pour lui faire un sourire, et l'intégrer à la conversation comme il le pouvait.

CHARLIE NOAH SILVER ; Dites, je vous ai déjà présenter? Parce que je ne suis pas trop sûr.

Ca bougeait. Cette chose, au loin. Cette espèce de larve bleue qui semblait plus molle que les fesses d’Antisa Khvichava. Ce truc gigotait de gauche à droite, et essayait de… danser. Ca dansait la macarena. Mais… Bordel, c’était quoi ce truc ?! Et puis voilà qu’elle se mettait à marmonner des trucs étranges. Maxence était assit dans un pré, les jambes croisées, seul. Il observait cette petite chose si intrigante à ses yeux. Elle donnait l’impression de parler. Alors, le jeune se mit à quatre pattes pour ainsi rapprocher son visage de la bestiole. Oh mon Dieu. Mais c’était Charlie ! Vision d’horreur. Wow. Le français se distança de cette horrible chose vraiment bizarre, le sang lui montant au visage. Ce truc avait la tête de Charlie Silver. Et elle marmonnait encore des phrases, comme « Mon amoureux, il est l'heure de se lever en ce beau Samedi... ». Puis, la bestiole lui sauta dessus, le couvrant de baisers. Elle avait une bouche pulpeuse, au contact maladivement doux. C’était la bouche de Charlie. Holala, il y avait un truc qui se passait là.
Le visage angélique de Chat apparaissait petit à petit. Comme s’il était Dieu et qu’il était dans les nuages. Puis, la vision du jeune français s’éclaircit, et il se retrouva dans un lit, son mari assit à califourchon sur… sa partie génitale. Et ça lui faisait mal.

Maxence commença par pousser Charlie de sur lui, le renversant sur le lit, tout en ronchonnement. Il se tourna sur le côté droit, et referma lentement les yeux. Il venait de réaliser que cette histoire de larve bleue n’avait été qu’un étrange rêve. Il avait du mal à supporter la lumière du soleil qui traversait la chambre. Mais son petit-ami insistait pour qu’il se réveille. Mais, pourquoi ? On était Samedi, pourquoi vouloir être aussi hyperactif ? En même temps, c’était Charlie. Un hyperactif dans l’âme. Au contraire de Maxence, qui préférait passer son Samedi à dormir paisiblement plutôt que de gambader dans la ville et dépenser trop d’énergie. Mais, le petit chaton mentionna une certaine Sam. Dont Max ignorait jusqu’à présent l’existence. Qui était cette dite Sam ? Oh, que lui préparait Charlie. Il ne voulait pas particulièrement aller déjeuner avec Sam. Il aurait largement préféré un truc entre amoureux, comme font la plupart des couples normaux. Mais non, bien sûr, avec Charlie, il fallait toujours faire un truc différent.
Le petit cuisinier se trouvait encore entre la frontière des rêves et celle de la réalité. Mais, il émergea finalement de son sommeil, les yeux encore collés. Il le frotta énergiquement, avant de s’étirer et de bailler nonchalamment.
Il regarda son mari s’habiller plus vite que la lumière. Même en sortant du lit il était plus sexy que n’importe qui. Maxence avait une envie folle de lui sauter dessus, et de l’embrasser partout. Mais bien sûr, c’était actuellement impossible. Argh, il parlait trop. Une migraine était venue envahir la tête de notre ami, il n’arrivait à supporter aucun bruit. Même le bruit de la douce voix de son cher mari lui semblait aussi martyrisant que celui d’une perceuse. Mais il ne voulait pas vraiment le vexer, et le laissa parler, essayant de capter chacun de ses mots. En fait, dans sa tête, il sélectionnait chaque mot, puis il essayait de les assembler pour reconstruire la phrase de Charlie. Bah quoi, ça ne faisait que quelques minutes qu’il avait été réveillé de force, il ne fallait pas lui en vouloir.

« Oh, Charlie… Qu’est-ce que tu fabriques ? C’est qui, Sam ? Et puis, pourquoi je dois venir d’abord ? Je suis mort, j’peux pas bouger. Tu veux faire les boutiques… ? Argh. »

Bien sûr, il ne pouvait rien lui refuser. Par un effort surhumain, Maxence se leva du lit de son mari. Il était en caleçon. Et il avait froid. Lentement, il vint enlacer son prétendant par derrière, lui déposant un tendre baiser sur la joue. Il huma son odeur. Hum, ce qu’il aimait son parfum. Il pourrait s’y shooter. C’est alors qu’il remarqua quelque chose de brillant à son doigt. Une alliance. Le cœur du jeune français fit un bond. Charlie portait son alliance. Rien au monde ne pourrait lui faire plus plaisir pour la journée. Un sourire rayonnant se fit remarquer au coin des lèvres du brun. Il attrapa tendrement la main de son amoureux, avant de lui déposer un second bisou dans le cou.

Bon, maintenant il devait s’habiller. Et vite. Il était tenté de prendre les vêtements de Charlie, mais il était bien plus maigre que lui. Dommage. Mais bon, de toute façon, Maxence avait prit l’habitude d’emmener des vêtements propres lorsqu’il allait chez Charlie. Parce qu’il savait que de toute façon, il y passerait la soirée. Bref. Il enfila un jean et une chemise en soi noire toute douce. Il eut à peine le temps de se brosser les dents et les cheveux, qu’il se fit entraîner dehors.

Une fois au restaurant, Charlie sembla reconnaître la fameuse Sam. Femme dont Maxence n’avait encore jamais entendu parler. Apparemment, elle et son mari s’entendaient plutôt bien, vu le sourire qu’ils s’adressèrent en se trouvant. Le français fronça les sourcils. Jaloux, lui ? Mais non. Ne divaguons pas dans l’absurde, voyons.
L’homme salua la femme d’un signe de tête poli, et d’un sourire des plus diplomates. Il avait été élevé de sorte à ce que les femmes soient toujours respectées. Et il tenait à cette règle fondamentale.
Il s’assit alors à la place que Chat lui indiqua, un sourire gêné aux lèvres. Alors, Charlie demanda s’il avait déjà effectué les présentations entre Maxence et Sam. L’intéressé était vraiment plus que gêné. Il ne se sentait pas à sa place, et donnerait tout pour être chez lui, dans son lit. Mais bon. Il le faisait pour Charlie.

« Hem, non. Il ne me semble pas connaître cette charmante jeune fille. »

Eurk. Devoir ce dépêcher, et avoir un mari plutôt paresseux. Paresseux, mais beaucoup trop mignon. Mais Charlie n'avait pas le temps de le regarder, il devait mettre ses bas, et aller rejoindre Sam au restaurant. Maxence posait des questions. À croquer. Charlie avait envie de rester à la maison, collé à lui, et dormir. Miam, faire la grasse matinée dans ses bras... Oh oui. Mais Non. Il subirait les foudres de Sam s'il osait lui poser un lapin. Il ne devait pas. Non. Non. Non. Regarder Maxence le moins possible, éviter le contact, pour éviter de fondre et de rester clouer sur place. Mais il avait tout de même le droit de répondre à ses questions, non? Du moins, il s'en accordait la permission, de toute façon, la conversation risquait bien d'être courte, parce que Charlie était un peu anxieux, probablement à cause du manque de sommeil.

CHARLIE NOAH SILVER – Je m'habilles, et tu devrais en faire autant chéri, sinon, nous allons être encore plus en retard, et ça, ce ne serait pas gentil du tout. Sam, c'est ma meilleure amie, avec Kirsten, mais c'est ma meilleure amie quand même. Ça fait très longtemps que je ne l'ai pas vue, tu vois, j'ai un mari moi. Et tu viens parce que je ne veux pas te laisser seul, de toute façon, tu me manquerais trop, alors, tu grouilles tes jolies fesses. T'avais qu'à me laisser les commandes un moment monsieur « je suis l'homme » t'aurais été moins fatigué et peut-être faire attention sur la consommation d'alcool Monsieur de Lacroix – Silver, mais bon, ce conseil vaut aussi pour moi... me suis lever pour vomir vers sept heures ce matin. Mais bon, on s'en fou en même temps. Bah, tu sais, on peut tout aussi bien dormir dans nos draps sales tout l'aprem.

Il se levait. VICTOIIIIIIIRE! Un petit pas pour Maxence, mais un grand pas pour l'avenir de cette journée. Dah. Il venait enlacer le petit chaton par derrière. Il voulait le faire craquer. Respire. Respire. Il n'ira pas plus loin, il sait qu'ils ont un rendez vous. Non non. Un bisou sur la joue. De quoi achever Charlie. Il était devenu aussi mou qu'une guimauve. Maxence lui prit la main gauche, et embrassa le cou de l'oméga. Mmmm... Il adorait ses séances de tendresse matinale. Il ne pouvait pas refouler son envie d'y participer. Mais il le fallait. Pour le bien de son rendez vous avec Sam. Le fait qu'il amenait Maxence allait peut-être poser problème, alors s'ils étaient trop en retard.... Il regarda son mari s'habiller, merde qu'il était sexy, il avait envie de lui sauter dessus à chaque seconde. Il ne fallait pas. Non non non. Il était tellement beau avec une chemise, mais il prenait un peu de temps à se brosser les cheveux, tellement que Charlie du aller lui donner un bisou pour qu'il aille plus vite. Mais ils finirent par arriver. En vérité, Sam n'avait pas l'air trop contrariée par leur retard. Chouette.

Ils étaient tous assistent à table, et ils parlaient; Non, Maxence et Sam ne se connaissaient pas. Chouette, pas de base, une occasion d'en créer de bonnes. Ils étaient très polis, chic. Tout allait bien dans le meilleur des mondes, Sam était blottie contre Charlie, mais pas trop, seulement amicalement, et Maxence était en face, ce qui permettait à Charlie de lui caresser les jambes avec les siennes. Petit contact, mais contact quand même. Chat sourit, en les écoutant finir de se répondre. Oh, oui! Il devait faire les présentations correctement, ce n'était pas très cool de devoir s'introduire soit même.

CHARLIE NOAH SILVER[i] – Eh bien alors, Maxence, mon amoureux, mari, homme de ma vie, etc... Personne très trop merveilleuse, Sam, ma meilleure amie de la vie, un petit monstre au féminin, une fille génialisime.

Charlie s'étira. Reposa ses mains sur la table. Remarqua une absence sur sa main. Il était pourtant certain d'avoir mis son alliance. MERDE. Elle avait tombé? Oh non! Charlie se leva comme parcourut par un éclair. Il regarda alentour de la table, Non, pas de bague.

[i]CHARLIE NOAH SILVER – Maxence?!? J'ai bien mis mon alliance ce matin dit? Parce qu'elle n'est plus là, et... et.. et.. je crois que je vais pleurer.

Il était au bord de la crise. Son alliance, son bébé, sa vie. Il l'avait perdu. La première fois qu'il la portait en public, il l'échappait. Pourtant, elle était bien ajustée et il n'avait pas perdu de poids. Il se rassit, en tremblant un peu. Les menus arrivaient, il fallait faire une sélection.

Cela effrayait un peu Charlie, il n'était jamais venu dans ce restaurant là, et chaque fois qu'il essayait un nouveau endroit, il devait poser des dizaines de questions, demander des changements, ou encore aller manger chez lui, faute de truc convenable pour sa condition de végétarien. Il regarda un peu le menu... Bacon, jambon, saucisses... Eurk. Il tourna la page. Mieux. Beaucoup mieux. Crèpes aux fruits. Mmm... Il devrait manger des noix durant la soirée, pour avoir son quota de protéines, mais ce n'était rien. Il regarda Maxence par dessus son menu, et passa la main sous la table pour aller chercher la sienne. Soudain, Sam dit qu'elle offrait. Charlie ne put pas s'empêcher de lui répondre.

CHARLIE NOAH SILVER – Mais non Sam, ça va.

Puis, il regarda le serveur. Il avait le visage de l'emploi, sérieux. Charlie avait quelques questions à poser, mais se retint. Le fait que les oeufs soient bio ou non importait peu, après tout, s'il ne se posait pas de question, il n'aurait pas de mauvaise surprise. Il commanda.

CHARLIE NOAH SILVER – Crêpes aux fruits s'il vous plait, oh, avec un verre d'eau aussi.

Puis il regarda son amoureux, en attendant qu'il commande. Il était tellement beau. Il regarda Sam, elle souriait à Maxence. Oh! Ils s'entendaient bien, merveilleux! Le paradis, deux personnes qui lui étaient très cher s'entendaient bien. Il sourit à son tour. Ouais, il avait bien fait d'amener Maxence finalement.