Méditation [PV Max']

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Jesse était quelque peu déboussollé en ce moment. Il y avait eu son arrivée à Berkeley, puis la mort subite de son oncle. Puis ce va et vien entre Quebec et Berkeley. Il était épuisé. Il ne voulait surtout pas parler de la perte de cet oncle avec qui le jeune homme avait été toujours complice. Ce soir là, il était monté sur le toit pour regarder l'horizon, la ville et ses lumières sintillantes dans le nuit. Une vue magnifique! Un vent frais caressait la nuque du jeune homme qui referma son blouson pour ne pas avoir trop froid. Il soupira. Jesse s'assis alors sur le toit. Il avait envoyer un message à Maxwell quelques minutes plus tôt lui demandant de bien vouloir le rejoindre en cet endroit. Il avait besoin de parler, d'autant plus que Maxwell n'avait pas été très présent depuis l'arrivée de Jese à Berkeley. Jesse n'avait jamais été très complice avec son grand frère MAx', il l'était plus avec Edward. Mais pourtant, Max' et lui avait toujours eu de bonnes relations... et ça avait été un déchirement lorsque Nath', Edward et Max' s'en était allé pour Berkeley un an plus tôt.

Jesse resta planté là, quand soudain il entendit des pas approchant. Il se retourna et vit Maxwel approché dans l'obscurité. Jesse lui adressa un petit sourire quand le jeune homme vint s'assoir à côté de lui. Mais il ne dit rien, préférant que Max brise le silence en premier. Jesse soupira puis regarda au loin, toujours sans un mots, toujours sans un geste, le regard vide de sentiment, mais le visage rongé par la fatigue.

Flash Back

Max: Donne moi ce dossier Jesse... C'est vraiment important.
Jesse: Et si je refuse?
Max: Rend le moi Jesse... tu vas avoir de sérieux ennuis.
Jesse: humm...
Max: Tu sais ce que tu tiens dans les mains au moins??
Jesse: "Inscription à L'université de Berkeley (USA)"...
Max: Exact, et si tu ne me le rend pas, je ne pourrais pas y aller.
Jesse: DOnc tu préfères laisser ton petit frère seul??
Max: Tu essayes de me faire culpabiliser? Pourquoi n'essayes tu pas avec Edward... ou Nathaniel, je ne sais pas moi! Mais rend moi ce dossier bon sang.
Jesse: Oui j'essais de te faire culpabiliser...
Max: T'es vraiment un imbécile!
Jesse: Je me disais aussi...

Maxwel s'empara du dossier, et commença às sortir de la pièce. Jesse le rattrapa.

Jesse: Tu veux vraiment y aller??
Max: Oui Jesse...
Jesse: Tu sais il y a d'autres universités plus proche...
Max: On en a déjà discuter Jesse, je ne changerai pas d'avis.

Fin du Flash Back

Les longs silences s'installaient souvent comme tel... Pendant ce temps, on se remémorait les souvenirs d'outres tombes... et parmis eux celui du départ de Maxwell pour Berkeley. Ce départ avaiet été tout aussi mal vécu par Jesse que les départs de Edward et Nathaniel. C'est à ce moment là que Jesse aurait voulut tout de suite les suivre, juste pour pouvoir les garder près de lui, pas très loin... Mais Jesse étant trop jeune pour les suivre, devant attendre encore un an avant de postuler, avait du rester planter ici, seul avec ses parents, refusant pendant plusieurs jours de prononcer le moindre mot à quiquonque. Heureusement, le destin avait tourné en sa faveur puisqu'il avait pu rejoindre ses frères à Berkeley partageant leur confrérie et leur petites soirées sympatiques!

Jesse avait envie de faire autre chose ce soir, il avait envi de sortir un peu en compagnie de mister Maxwel, aller boire un verre ou tout simplement se changer les idées. Jesse dirigea alors son regard vers Max qui commençait alors à parler.

Invité

Jessou&Maxou

Il arrive parfois qu’on se sente seul. Coupable pour un crime, attristé par une nouvelle, ou tout simplement mélancolique de notre propre existence. Alors on se pose quelque part. Dans un endroit où seules les personnes aimées pourront nous y retrouver, tout comme nos rêves. Et apparemment, c’était ce qu’il venait d’arriver au jeune Jesse Atwoodth. Benjamin de la famille. C’est les sourcils froncés et l’expression légèrement douteuse que l’un des jumeaux parcouru les quelques mots inscrits sur son téléphone portable. Allongé sur un lit, verre de bière dans une main, mobile dans l’autre, il ne prit même pas la peine de répondre. Terminant d’une traite le liquide à bulle qu’il tenait, Maxwell ne se fit pas prier une seconde fois pour réagir. S’étirant bras et jambes avant de se redresser et quitter finalement ce cher matelas. Rares étaient les fois où l’on pouvait apercevoir le grand frère soucieux. Aujourd’hui, en cette fin d’après-midi, il l’était. Comment oublier l’une de leur dernière rencontre… Celle qui précédait le départ du brun de leur ville natale. Il fallait bien avouer que ce genre d’événement avait plutôt pas mal marqué l’esprit du concerné. S’il n’avait osé avouer à Jesse que la peine était présente lorsqu’il a du le quitter, Max’ n’avait toutefois pas osé prendre la peine de s’informer quant aux nouvelles du plus petit de la famille. Il le savait : Jesse avait toujours été un garçon proche de ses frères. Toujours à les aimer, à vouloir les aider. Mais il fallait bien que cela arrive un jour ou l’autre : chacun devait prendre une route différente. Mais vraisemblablement, le jeune Atwoodth ne l’avait pas encore cerné. Etait-ce son âge qui l’obligeait à agir ainsi ? Le châtain l’ignorait. Mais quoiqu’il en soit, il répondrait à ses appels.

La démarche fluide et vive, le Delta parcourait déjà les corridors de l’université. Se pinçant la lèvre inférieur, pensif face aux événements. Que lui était-il donc arrivé pour qu’il réclame ainsi la compagnie de l’un des frères avec lequel il s’entendait le moins ? Sceptique, cette simple pensée suffit à faire redoubler de rapidité les pas du jumeau. Dans ces longs couloirs vides, il ne tarda pas à rejoindre l’escalier menant au toit.

Le voilà. Assis au loin sur la toiture du bâtiment. Maxwell reprit doucement son souffle en soupirant. Laissant un fin sourire se dessiner sur ses lèvres. Cela faisait déjà plusieurs mois que Jesse était arrivé à Berkeley… Et allez savoir pourquoi, Max’ et lui n’avaient pas même pris le temps de se revoir. S’expliquer. S’ils avaient gardé de bonnes relations, celles-ci restaient néanmoins plutôt floues. Ni l’un ni l’autre ne savait comment agir. Culpabilité, quand tu nous tiens. Mais enfin… Quoiqu’il en soit, c’est le cœur lourd et l’esprit soulagé que Max’ vint prendre place aux côtés de son petit frère. Ne guettant pas sa réaction, laissant son regard vagabonder sur le paysage nocturne. Frissonnant doucement à la fraîcheur du soir. Il fini toutefois pas tourner doucement son visage vers lui. Souriant doucement alors qu’un de ses bras venait entourer les épaules du garçon. Il murmura à voix basse :

« Tu es fatigué… Tu devrais aller te reposer… De quoi avais-tu envie de me parler ? »

Au fond, Maxwell avait bien gardé ça encré chez lui : son esprit protecteur envers son jeune frère n’avait pas vraiment disparu pendant tout ce temps où ils ne s’étaient plus revus. Le regard se voulant rassurant, il guetta durant quelques secondes les traits du visage du jeune Delta. Las, fatigué. Presque… Vide de toute émotion… Max’ afficha une moue légèrement troublée. Que lui était-il arrivé ? Suspicieux et douteux, l’aîné fini pas craquer face à la chose. Il glissa son second bras autour du jeune homme, le serrant doucement contre lui. Depuis combien de temps n’avait-il plus fait cela ? Depuis combien de temps Maxwell n’avait-il plus enlacé un frère, l’expression inquiètes et dérangée. Il reprit à voix basse, laissant les incertitudes perler à travers ses quelques dires :

« Dis-moi ce que tu veux qu’on fasse. Qu’on reste ici ? Qu’on descende un peu prendre l’air ? »

Invité

On ne ballait pas les gens d'un seul coup, comme ça... On réfléchit, on pense à eux, eux qui vienne de rejoindre l'eau de là, eux qui vous laisse un bon ou mauvais souvenir de leur rpésence sur terre.Nathan Atwoodth était partit trop vite, d'une maladie incurable, un virus qui vous détruit de jour en jour... Certain vous dirons que ce fut une mort cherchée... parce que les gens se focalisent sur les erreurs du passé. Nathan Atwoodth était jeune et inconcient, découvrait la drogue et ses effets allucinogènes, euphoriques. Et voulant repoussé toujours plus loin ses limites pour vivre le plus d'expérience, il avait touché à l'héroïne. Oui, il s'était piqué. Il n'était pas seul cette fois là, non il agissait d'ailleur toujours avec ses meilleurs amis. L'un d'entre eux portait le virus nommé VIH, un virus qui vous tue progressivement, que l'on nepeux iradier... Il suffit d'une seraingue non stérilisée, une fois piquée dans les vaines, le virus se transmit à Nathan. Voilà 22 ans que ce dernier avait contracté le virus du sida. Biensûr il avait regretté cette erreur de jeunesse, se promettant de prendre jour après jour le traitement qui pourrait le garder en vie leplus longtemps possible. L'homme séropositif avait malheureusement sucombée à une maladie dûe au virus du VIH. Il s'en était allé rejoindre les anges, là haut.

Jesse avait donc l'impression qu'en montant ce soir là, sur le toit, il serait un peu plus près de la nouvelle résidence de son oncle qui avait toujours gardé le sourire malgrès le destin qui lui avait été annoncé il y a de cela 22 ans. Nathan manquait énormément à Jesse et c'était un vide pour le jeune blondinette qui se souvenait à présent des meilleurs souvenirs, desmeilleurs moments qu'il avait passé avec son oncle.

Max montait sur le toit donc, il rejoint Jesse. Un lourd silence s'installa jusqu'au moment ou Maxwell prit la parole.

Maxwell « Tu es fatigué… Tu devrais aller te reposer… De quoi avais-tu envie de me parler ? »

Jesse « Non j'ai... j'ai juste pleuré comme une gonzesse il ya une heure! J'avais pas spécialement envie de parler de quelque chose Max'. Je voulais juste que tu sois là.»

Il regarda son grand frère avec un regard toujours aussi attristé. Et Maxwell le prit dans ses bras. Jesse sentit soudainement que Max' était peiné pour lui, Jesse soupira longuement se sentant protégé comme quand il était petit par l'un de ses grands frères. Il n'aurait voulut pour rien au monde que cette instant privilégié s'interrompe. Il y avaity la chaleur du corps de Max qui semblait dire "Ne t'inquiète pas, je suis là". Jesse eu alors un pincement au coeur et étouffa quelques larmes. Jessen'aimait pas pleurer devant les gens, sa fierté était trop importantpour lui. Un homme ça ne pleur jamais, et bien non, ceci était faux. Mais Max ne devait pas voir Jesse pleurer. Ils se détachèrent l'un de l'autre et Max repris la parole.

Maxwell « Dis-moi ce que tu veux qu’on fasse. Qu’on reste ici ? Qu’on descende un peu prendre l’air ? »

Jesse

«Aide moi à me changer les idées Max', comme tu le faisais toujours quand on était petit... lorsque j'étais triste. Tu trouvais toujours le moyen de me faire rire. Alors trouve une idée, j'ai besoin de souffler un peu. »

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Sujet terminé.

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